• Vosges : Au volant d’une voiture stationnée, un enfant de cinq ans part dans un dénivelé de 80 mètres avant de percuter un arbre

    Une voiture en stationnement a dévalé une forte pente avant de s’écraser 80 mètres en contrebas contre un arbre, avec au volant un enfant de cinq ans…

    Alors qu’une voiture familiale était stationnée à flanc de coteau d’un verger, dans un petit village des Vosges (Pont-lès-Bonfays), le véhicule à dévaler une forte pente sur une longueur de 80 mètres environ. A bord, un enfant de cinq ans et son frère de dix ans. Les parents étaient à ce moment occupés à cueillir des mirabelles en compagnie d’amis, rapporte l’Est Républicain. Le véhicule a pris  le sens de la pente, frein à main baissé.

    Le grand frère a réussi à sauter à temps du véhicule. Quant à l’autre garçonnet, resté au volant de la voiture qui a dévalé la pente avant de s’immobiliser contre un arbre, en contrebas d’un dénivelé de plus de 10 mètres,  dans la violence du choc, l’enfant qui s’est accroché au volant, aurait percuté le pare-brise. Conduit aux urgences par les secours, le garçonnet se plaignait de fortes douleurs abdominales et lombaires.

    20 Minutes

    Encore un manque de surveillance des parents !


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  • Un vrai bonheur d'écouter cette musique !


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  • Réforme du permis de chasse : quelles conséquences pour l’environnement ?

    Les chasseurs ont-ils eu raison de Nicolas Hulot ? A entendre les explications de l’ex-ministre de la Transition écologique, après sa démission surprise mardi matin, c’est une réunion avec des représentants des chasseurs qui a joué le rôle de la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Organisée à l’Élysée par Emmanuel Macron, cette rencontre a débouché sur un accord favorable aux chasseurs et déjà critiqué par les défenseurs de l’environnement. Une réforme en apparence anodine mais aux conséquences pourtant très concrètes.

    Un million de chasseurs en France

    "Anecdotique mais symptomatique" : voilà comment Nicolas Hulot a lui-même décrit, au micro de France Inter, cette réunion avec les chasseurs. "Un élément a achevé de me convaincre que ça ne fonctionne pas comme ça le devrait" et a finalement poussé le militant écologiste à démissionner du gouvernement avec fracas : "J’ai découvert la présence d’un lobbyiste qui n’était pas invité à cette réunion. C’est symptomatique de la présence des lobbys dans les cercles du pouvoir". Nicolas Hulot fait ici référence à Thierry Coste, représentant de la Fédération nationale des chasseurs (FNC), puissant lobby qui a obtenu lundi de nouveaux avantages pour les 1,1 million de détenteurs du permis de chasse.

    Emmanuel Macron, qui a plusieurs fois exprimé son soutien à la pratique de la chasse, a donné lundi son accord à la baisse du permis national de 400 à 200 euros. Le permis national, contrairement au permis départemental, permet de chasser sur tout le territoire. Il n'est possédé que par environ 10% du million de Français qui pratiquent la chasse chaque année, selon la FNC. Cette baisse, qui n'est pas une surprise dans la mesure où le président avait déjà donné en février son feu vert à une réflexion sur le sujet, n'est pas nécessairement une préoccupation majeure pour les défenseurs de l'environnement.

    Une "gestion adaptative" qui fait débat

    Ces derniers s'inquiètent surtout de la façon dont sera mise en place la nouvelle gestion des espèces chassables. Actuellement, la liste des espèces chassables, qui compte une soixantaine d'oiseaux et de mammifères, de la gélinotte des bois à l'oie cendrée en passant par le blaireau et le sanglier, est figée. Soit on peut chasser une espèce, soit on ne peut pas, il n’y a pas d’entre-deux. La nouvelle "gestion adaptative", dont le principe avait été retenu dans le plan biodiversité présenté en juillet par Nicolas Hulot, instaure un bilan régulier pour chaque espèce. Ce dernier repose sur un renforcement de la collecte des données sur l'état de conservation des espèces et sur les prélèvements des chasseurs.

    Les 5 couleuvres que Nicolas Hulot a dû avaler : 

    Lors de la réunion de lundi, la liste des six premières espèces qui seront concernées d'ici la fin de l'année par cette "gestion adaptative" a été annoncée, notamment les oies cendrées, les courlis cendrés et les grands tétras. Concrètement, en fonction de l’évolution de la population et de l’habitat de ces espèces, il pourra être possible d’abattre chaque année un certain nombre d’animaux chassables, au-delà des quotas aujourd’hui autorisés (et inversement, de réduire le quota).

    Pour "éclairer" les décisions pour chaque espèce, un conseil scientifique doit être mis en place prochainement. Les chasseurs espèrent ainsi que certaines espèces aujourd'hui protégées, comme les cormorans qui selon eux ont proliféré ces dernières années, pourront être ajoutées à la liste. Une perspective dénoncée par les défenseurs de l'environnement qui voudraient que la nouvelle formule ne concerne que les espèces aujourd'hui chassables mais qu'ils considèrent comme en danger et dont ils voudraient réduire les quotas autorisés.

    Les associations ne décolèrent pas

    "C’est une faute politique grave. En France, on chasse 64 espèces d’oiseaux différentes. La moyenne européenne, c’est 14 espèces seulement. Est-ce qu’on va continuer à dézinguer des animaux qui agonisent ?", réagit le président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) Allain Bougrain-Dubourg, au micro d’Europe 1. "Je rappelle que la tourterelle des bois a perdu 80% de sa population et pourtant, on en abat encore 100.000 chaque année en France. Pour l’alouette des champs, c’est 500.000. Est-ce qu’on va continuer comme ça longtemps ? C’est ça la gestion de la chasse dans notre pays ?", regrette-t-il.

    Allain Bougrain-Dubourg réclame notamment que parmi les 64 espèces d’oiseaux chassables, les 20 qui font partie de la liste rouge de l'Union internationale de conservation de la nature soient immédiatement protégées. De son côté, Brigitte Bardot a dénoncé, par le biais de sa fondation, "la soumission aux chasseurs" d’Emmanuel Macron et la "politique suicidaire, inadmissible, du gouvernement qui condamne la biodiversité".

    Cette réforme de la chasse (un "cadeau", selon Brigitte Bardot) aurait dû passer sans faire de bruit. Mais la démission de Nicolas Hulot lui donne aujourd’hui une toute autre résonance. Le dossier est loin d’être clos puisque si le chef de l’État a donné son accord sur les premières mesures, l’intégralité de la réforme est encore à l’état d’ébauche.

    Europe 1

    Une raison de plus pour ne pas voter macron !


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  • Remaniement : Ministre? Daniel Cohn-Bendit ne dit pas non à Macron

    Alors que le remaniement se profile, qui pour remplacer Nicolas Hulot. Daniel Cohn-Bendit a été appelé par Christophe Castaner. S'il dit "tenir à sa liberté" et pense "ne pas être fait pour être ministre", l'intéressé ne tranche pas avant de voir Emmanuel Macron. Ce devrait être dimanche.

    Bientôt l'imagination au pouvoir? Et pourquoi pas Daniel Cohn-Bendit à la place de Nicolas Hulot. Ira, ira pas? Cette semaine deux ministres, Benjamin Griveaux et Christophe Castaner l'ont testé. Pas une offre d'emploi ferme, mais une sérieuse prise de température. Serait-il intéressé par la succession de Nicolas Hulot? A priori, c'est non. "Plusieurs options sont à l'étude mais je crains qu'in fine, il ait dit non même si certains ont tenté de le convaincre", explique un macroniste.

    Depuis quelques temps, l'"anarchiste allemand" - comme le surnommaient les communistes en 1968 avec le tact de piliers de comptoir - est devenu Français. L'affaire sur le plan juridique est donc jouable. Daniel Cohn-Bendit s'entend bien avec Macron, ils échangent souvent. Un bon point pour "Dany". Il a une notoriété aussi grande que celle de Nicolas Hulot. Un autre bon point. Il est écologiste. Troisième bon point. Bref, il est la poule aux œufs d'or.

    Il ne s'interdit pas de se laisser convaincre

    Reste un très léger problème. Le poste ne l'intéresse pas. Ou pas beaucoup. C'est ce qu'il a expliqué aux deux ministres avec lesquels il a échangé. Il est libéral-libertaire, pas libéral-ministère. A part à la mairie de Francfort, où il était adjoint, il n'a jamais souhaité participer à un exécutif. "Castaner m'a appelé, confie Daniel Cohn-Bendit au JDD. Je lui ai dit que je ne croyais pas que c'était une bonne idée. Je ne suis pas du tout fait pour être ministre. Si ministre, ce n'était que faire des conférences de presse, ça je peux faire, tous les jours, toutes les heures et dans toues les langues". Mais voilà ministre, ce n'est pas que ça. Il faut aussi gérer le quotidien, le poids de l'administration, régler des questions personnelles, il vit à Francfort, il y faisait d'ailleurs du vélo ce matin. Et puis ajoute-t-il : "Je tiens à ma liberté."

    Donc plutôt un non. Mais, il y a un codicille qui peut tout changer. Daniel Cohn-Bendit, qui n'était pas en France ces derniers jours, doit passer à Paris en fin de semaine. Il devrait pouvoir en profiter, dimanche, pour voir Macron. Jusqu'ici, vu les emplois du temps respectifs, les échanges entre les deux n'ont pas été très poussés. Et Daniel Cohn-Bendit ne s'interdit pas de se laisser convaincre. Son "non" n'est pas définitif, "tant que je n'ai pas discuté avec Macron".

    le JDD.fr

    Ben non, pas un pédophile !


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  •  Arrêts maladie : Buzyn déclenche un tollé chez les médecins

    La ministre de la Santé a agacé les médecins en assurant que «15% des arrêts sont des abus ».

     

    Alors que la ministre de la santé Agnès Buzyn a su renouer le fil rompu avec les médecins par sa prédécesseur Marisol Touraine, la polémique autour des arrêts de travail vient entamer cette lune de miel. «Quand nous contrôlons les arrêts de travail, 15 % sont inappropriés, sont des abus. Il y a quelqu'un qui paye pour tout le monde, c'est la Sécu. Le médecin prescripteur, ce n'est pas lui qui paye» a déclaré la ministre interviewée sur Radio Classique.

    Une petite phrase qui a eu le don d'irriter les médecins. «La ministre de la santé semble regretter que les médecins ne paient pas les indemnités journalières des patients à qui ils prescrivent un arrêt de travail. Faudrait-il, pour limiter les dépenses de santé en France, que les médecins paient les indemnités journalières? Pourquoi pas aussi les médicaments ou les examens prescrits à leurs patients?», a ironiquement réagi le syndicat de médecins généralistes MG France. Les généralistes se disent «excédés par ce chapeau qu'on leur fait systématiquement porter», et estiment que les pouvoirs publics devraient plutôt s'interroger sur les causes profondes des difficultés physiques, sociales ou environnementales que rencontrent les patients et qui conduisent à prescrire des arrêts de travail.

    Les médecins soulignent que ce taux de 15% s'applique aux arrêts ayant fait l'objet d'un contrôle mais que les contrôles portent sur moins de 5% de l'ensemble des arrêts maladie. «15% de 5% égalent 0,75%, ce qui est un chiffre nettement moins spectaculaire», proteste MG France. Sans compter que les arrêts de plus de 6 mois sont systématiquement validés par le service médical et que, pour cette raison, les médecins qui les prescrivent ne peuvent être mis en cause.

    Les arrêts de travail ont augmenté de 15% entre 2010 et 2016

    «Cette déclaration est tout aussi blessante à l'égard des médecins que celle d'Édouard Philippe connectant dans une même phrase «arrêt de travail et congé». Suspecter les médecins de dérives car «ils ne payent pas», c'est faire montre d'une défiance totale à l'égard de la profession», a de son côté réagi l'UFML. «C'est comme si notre pays avait instauré un jour de congé supplémentaire», a déclaré Édouard Philippe dans une interview au JDD le 28 août, commentant la hausse des arrêts de travail.

    De fait, les arrêts de travail enregistrent une hausse continue et représentent un coût croissant pour la Sécurité Sociale, auquel le gouvernement a décidé de s'atteler. Les indemnités journalières ont ainsi augmenté de 15 % entre 2010 et 2016, l'indemnisation passant quant à elle de 6,2 milliards à 7,1 milliards, selon le dernier rapport Charges et produits de l'Assurance maladie. En 2018, cette augmentation s'est même accélérée, avec une hausse de 4,9 % de janvier à juin 2018.

    «L'augmentation de 4% chaque année des arrêts maladie est un indicateur dramatique sur l'état de la société, reconnaît le syndicat UFML. Mais il pose d'autres questions plus fondamentales que celle du coût». Le gouvernement a avancé cet été l'idée de faire payer les arrêts maladie de courte durée par les entreprises, avec notamment un basculement de quatre jours d'indemnisation de la Sécu vers les employeurs pour les arrêts de moins de huit jours. Une piste rapidement abandonnée face à la levée de boucliers du patronat. Mais s'il a écarté l'idée d'un «transfert brutal» de la Sécu vers les entreprises, Édouard Philippe souhaite que les partenaires sociaux trouvent des solutions pour que l'absentéisme cesse d'augmenter. Une solution reste à trouver.

    Le Figaro.fr


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  • Rencontre avec les chasseurs: Emmanuel Macron va augmenter le nombre d'espèces chassables ainsi que les quotas autorisés

    Nombre d'associations de défense de l'environnement pointent du doigt la "gestion adaptative" des espèces chassables. Contrairement à ce qu'ils espéraient, cette nouvelle gestion va se traduire par un allongement significatif de la liste des espèces concernées, ainsi que des quotas autorisés. Déjà, Emmanuel Macron vient d'accorder à la puissante fédération le droit de chasser six nouvelles espèces d'oiseaux. Parmi elles : les grands tétras, les barges à queue noire, les tourterelles des bois ou encore les oies cendrées.
    En France, on chasse 64 espèces d'oiseaux différentes", alors que "dans le reste de l'Europe, la moyenne est de 14 espèces", regrette Allain Bougrain-Dubourg. Surtout, "parmi les 64 espèces chassées en France, il y en a 20 qui sont sur la liste rouge des espèces menacées, qui sont en agonie et que, pourtant, on chasse.
    Ce mardi matin, coup de tonnerre : Nicolas Hulot quitte le gouvernement. Pour beaucoup, il n'y a aucun doute, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase c'est l’annonce de nouvelles mesures favorables aux chasseurs.
    (extrait de l'article de Claire Cambier, LCI)

    Politique & animaux


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  • Elephant Haven : la "maison de retraite" pour éléphants prend peu à peu forme dans le Limousin

    À Bussière-Galant dans le Limousin, Elephant Haven, le premier sanctuaire pour éléphants d'Europe poursuit sa construction. Les 25 et 26 août dernier, des visites guidées étaient exceptionnellement organisées sur le site pour faire découvrir au grand public le projet et l'avancement des travaux. L'occasion de constater que la future maison des éléphants prend peu à peu forme. 

     

    C'était il y a près de deux ans. Nous vous parlions du rêve en apparence fou de deux anciens soigneurs belges, Tony Verhulst et Sofie Goetghebeur : celui de construire une "maison de retraite"pour éléphants. Plus exactement, un sanctuaire, le premier en Europe, visant à accueillir de vieux éléphants issus de cirques ou de zoos afin de leur offrir une retraite paisible loin de toute contrainte. 

    Pour mener à bien leur projet, le couple avait jeté son dévolu sur la France et plus précisément sur Bussière-Galant, une petite commune située dans le Limousin à une quarantaine de kilomètres de Limoges. C'est là qu'ils ont déniché la structure idéale : une ancienne ferme équestre installée sur un terrain de 28 hectares. Entre démarches administratives et travaux, le chemin s'annonçait toutefois long avant de voir naitre la maison de retraite...

    Aujourd'hui, presque deux ans plus tard, le projet semble plus que jamais être en passe de se concrétiser. Après avoir obtenu l'autorisation d'ouverture en août 2017, les travaux avancent à vitesse grand V à Elephant Haven. Les 25 et 26 août dernier, Tony et Sofie ont exceptionnellement ouvert aux visiteurs les portes de leur sanctuaire en construction. L'occasion de constater qu'en quelques mois le site s'est considérablement transformé et que l'arrivée de ses premiers pensionnaires n'est plus si loin. 

    Un premier enclos qui prend forme 

    Là où se tenait il y a quelques mois une simple structure recouverte d'un toit, se dressent aujourd'hui six box encadrés de barreaux en métal. Des box au sol nu ou recouvert de sable qui constitueront le futur abri intérieur des premiers éléphants. C'est ici que les pachydermes pourront à leur guise se réfugier, se reposer ou manger s'ils n'ont pas envie de rester à l'extérieur. C'est également là que les soigneurs prendront soin des éléphants en s'appuyant sur le principe du "contact protégé". 

    Cette structure n'aurait jamais pu voir le jour sans le soutien de plusieurs organisations dont la Fondation Brigitte Bardot et World Animal Protection (WAP) qui ont aidé à financer sa construction. Elle pourra à terme accueillir deux à trois éléphants, uniquement des femelles. De nouvelles "retraitées" dont la "maison" ne se résumera pas à ses six box bien entendu. Au-dehors, c'est un terrain de quatre hectares qui s'offrira aux pachydermes avec arbres, amas de terre et bassin privé.

    Durant la visite, on peut d'ailleurs d'ores et déjà apprécier l'étendue du futur "terrain de jeu" des pensionnaires d'Elephant Haven, cerné par la végétation et baigné par le soleil du Limousin. Mais de nombreux travaux restent à mener avant leur arrivée. L'enclos intérieur doit encore être fermé, isolé et se voir installer un système de chauffage efficace pour offrir les meilleures conditions de vie aux éléphants. Il reste également à installer la clôture d'enceinte bâtie à partir d'immenses poteaux électriques et de câbles de grue de récupération.   

    Heureusement, Sofie et Tony sont loin d'être les seuls impliqués dans la tâche. Depuis le démarrage du projet, ils sont épaulés par de nombreux volontaires qui se succèdent sur le chantier dont ceux de l'association MakiGo qui ont fait de ce projet l'une de leurs missions principales.

    Quand le premier animal arrivera-t-il ?

    Si les quelque 300 visiteurs se sont montrés particulièrement enthousiastes face au projet ce week-end, la question était sans surprise sur toutes les lèvres durant les visites : quand les premiers éléphants arriveront-ils ? On l'ignore encore. "Maintenant on évite de donner une date sur l'arrivée du premier animal", répondent avec prudence, les deux fondateurs au quotidien Populaire du Centre. 

    "Nous espérons avoir bientôt terminé mais sans savoir précisément quand", ajoutent-ils. De même, on ignore également qui seront les futurs pensionnaires et d'où ils proviendront, si ce n'est bien sûr qu'il s'agira d'éléphants actuellement en captivité en Europe et donc déjà habitués à notre climat. Selon les estimations, plus d'une centaine de pachydermes se trouveraient dans des cirques à travers le continent. 

    La première étable pour éléphants ne constitue que la première phase du projet. La deuxième prévoit, une fois l'autorisation nécessaire obtenue, d'aménager le site pour pouvoir accueillir des visiteurs et les sensibiliser, tout en préservant l'intimité des pensionnaires d'Elephant Haven. À terme, deux étables supplémentaires pourraient être rajoutées pour recueillir jusqu'à une dizaine d'éléphants.  

    Pour suivre ou apporter son soutien au projet Elephant Haven, c'est par ici sur le site officiel ou sur les réseaux sociaux

    Pour en savoir plus sur l'association MakiGo, rendez-vous sur le site officiel

    GENTSIDE

    Espérons que cela ouvre bientôt !


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  • Etats-Unis : un couple séquestre une personne âgée pendant sept mois dans un chenil

    La famille, c’est surtout pour le meilleur mais dans le cas de cette septuagénaire texane, c’est aussi pour le pire. La vieille femme a été enfermée pendant sept mois dans le chenil d’une maison située rue Wesley à Malakoff. Sa séquestration aurait été orchestrée par Tommy Lee Anderson, 49 ans et sa compagne, Leonnia Darlene Anderson Castillo, 47 ans. Cette dernière connaissait bien la personne âgée puisqu’il s’agissait de son aïeul.

     

    KLTV, qui a eu accès aux documents de l’enquête, assure que le couple a forcé la septuagénaire à acheter ce chenil. A ce moment-là, elle ne soupçonne sans doute pas que l’habitat pour chiens deviendra sa prison. Anderson et Castillo l’obligent à y vivre en sous-vêtements et la laissent dehors en pleine chaleur jusqu’à ce qu’elle vomisse.

    Mais son calvaire est allé bien plus loin que cela. Castillo aurait aussi tenté de noyer son aïeul dans une baignoire et l’aurait forcée à marcher pieds nus sur des bouts de verre. La vieille dame, également victime de coups, ne pouvait ni boire ni manger quand elle le souhaitait. Pendant ce temps, Anderson et Castillo, qui avaient confisqué sa carte bancaire, retiraient de son compte ses aides à l’invalidité.

     

    Libérée par sa famille

     

    Ce calvaire a duré du 5 janvier au 22 août, jusqu’à ce que d’autres membres de la famille de la victime réussissent à convaincre Castillo de la relâcher. Ses proches ont avoué avoir tenté de la libérer à plusieurs reprises dans le passé mais n’y être jamais parvenus.

    Une fois dehors, la vieille dame ne pouvait pas garder toute cette histoire pour elle. Elle a contacté la police de Malakoff pour raconter tout ce qu’elle avait subi. Lors de sa déposition, un officier a pu constater qu’elle avait un œil au beurre noir, des plaies sur le dos et des coupures sur les pieds. Toutes ces blessures viennent corroborer son récit.

    Après ces accusations, le couple a été arrêté samedi par les autorités. Selon Newsweek, Castillo a été libéré mardi de la prison du comté de Henderson après avoir versé une caution de 50.000 dollars. Anderson aurait lui été libéré lundi après un versement de 15.000 dollars.

    Ce n'est pas la première fois que ce genre d'histoires fait la une des journaux américains. En janvier 2018, les Etats-Unis avaient découvert avec effroi "la maison de l'horreur", dans laquelle 13 frères et soeurs affamés avaient été enchaînés à leurs lits dans le noir. Leurs parents ont été incarcérés pour "torture et mis en danger d'enfants". 

    L'OBS

    Je ne comprends pas que ses proches ne soient pas aller de suite à la police !


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  • Bravo Farid !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - VENDREDI 31 08 2018


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  • Nomination de Philippe Besson à Los Angeles : 4 choses à savoir pour comprendre la polémique

    L'écrivain Philippe Besson, proche d'Emmanuel Macron, va être nommé consul général de France à Los Angeles. Une nomination qui pose question.

    C'est un poste très convoité. L'écrivain Philippe Besson va être nommé dans les prochains jours consul général de France à Los Angeles. Le romancier n'a aucune expérience dans la diplomatie mais il est considéré comme étant un proche du couple présidentiel depuis la campagne présidentielle de 2017. Durant cette période, Philippe Besson avait suivi la campagne dans les pas d'Emmanuel Macron. Il en avait tiré un livre Un personnage de roman (aux éditions Julliard) plutôt laudateur pour le chef de l'Etat.

     

    Est-ce qu'il y a eu déjà eu des précédents?

    Plusieurs écrivains ont déjà été nommés à des postes d'ambassadeur ou de consul. On peut citer les cas de Jean-Christophe Rufin, Olivier Poivre D'Arvor ou plus loin dans l'histoire de Romain Gary, qui avait été lui aussi nommé consul à Los Angeles. Pour autant, contrairement à Philippe Besson, ces trois écrivains avaient déjà une expérience dans la diplomatie. Jean-Christophe Rufin avait été conseiller diplomatique au cabinet du ministre de la Défense François Léotard entre 1993 et 1995 avant sa nomination au Sénégal en août 2007 en tant qu'ambassadeur. Olivier Poivre D'Arvor avait été ministre plénipotentiaire et ambassadeur chargé de l’attractivité culturelle de la France avant sa nomination en 2016 à Tunis. Romain Gary venait lui de publier son premier roman Éducation européenne quand il a entamé sa carrière diplomatique après la Seconde guerre mondiale. 

    Le cas de Philippe Besson pourrait davantage se rapprocher de celui de de l'écrivain et journaliste Daniel Rondeau qui avait été nommé ambassadeur à Malte en 2008 par le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner alors qu'il n'avait aucune expérience dans la diplomatie. On peut citer aussi le cas du journaliste et écrivain François-Régis Bastide, membre du PS, qui avait été nommé ambassadeur du Danemark en 1982, avec l'agrément du nouveau président de la République François Mitterrand. Il faut noter qu'il s'agissait à chaque fois de poste d'ambassadeur, et non de consul, dont les missions sont différentes.

     

    Est-ce légal ?

    Oui mais depuis peu de temps. Le 3 août dernier, le gouvernement a présenté en Conseil des ministres un décret qui ajoutait vingt-deux postes de consuls généraux "particulièrement importants", dont celui de Los Angeles, à la liste des emplois "pour lesquels la nomination est laissée à la discrétion du gouvernement". Interrogé après le Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, avait expliqué que "les missions des consuls ne sont pas les mêmes qu'au siècle dernier. Il n'est pas anormal de trouver des profils qui connaissent bien le monde de l'entreprise pour pouvoir avoir une représentation qui soit plus en phase avec les priorités de la politique du gouvernement". 

    Dans le compte-rendu du Conseil des ministres, on pouvait aussi lire que "les fonctions de consul général dans un certain nombre de postes prennent une importance croissante dans les champs politique, auprès d'autorités locales ayant elles-mêmes des compétences accrues, de la diplomatie économique et du rayonnement culturel."

     

    Est-ce vraiment très "nouveau monde"?

    Evidemment, Emmanuel Macron n'est pas le premier président de la République à nommer des proches dans le milieu diplomatique mais cela ne fait pas très "nouveau monde", comme on dit aujourd'hui en macronie. Plusieurs membres de l'opposition ont d'ailleurs ironisé sur le sujet sur les réseaux sociaux. Le député Les Républicains Eric Ciotti a aussi jugé que cette nomination est "l’incarnation d’un monde très très ancien de copinage".

    Emmanuel Macron s'est lui défendu jeudi : "Il n'y a chez moi aucun copinage pour services rendus. Regardez le gouvernement. Si je servais les gens en fonction de leur implication de la campagne présidentielle, aurais-je choisi le Premier ministre que j'ai nommé il y a quinze mois? [...] Que chacun revienne à la raison et regarde les choses telles qu'elles sont [...] Je souhaite et je continuerai à ouvrir l'ensemble des postes en particulier de l'administration de la haute fonction publique à des gens de talent et de mérite venant d'autres horizons, (...) parce que c'est une bonne chose", a-t-il affirmé.

     

    Et au fait, que peut-on lire dans le livre de Philippe Besson ?

    Dès le début de son livre sur la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron, Philippe Besson ne s'en cache pas : il apprécie l'ancien ministre de l'Economie de François Hollande. "Je le connais depuis deux ans, nous nous sommes croisés la première fois à un dîner chez des amis communs, nous nous sommes revus, nous avons sympathisé, nous nous voyons de loin en loin, il nous arrive d'échanger des SMS, nous parlons de la vie ordinaire, de littérature, assez peu de politique", décrit-il. Il poursuit : "J'ai de l'admiration pour son intelligence, de l'affection pour lui, une grande tendresse pour son épouse, une curiosité pour le couple égalitaire qu'ils forment, je n'ai en revanche aucune fascination pour le pouvoir qu'il exerce. D'une manière générale je me tiens à bonne distance du pouvoir"", veut-il croire. 

    Pour écrire ce livre, Philippe Besson a suivi Emmanuel Macron dans de nombreux déplacements. Quoi qu'il dise, il en est ressorti fasciné. "Je ne peux m'empêcher d'être convaincu par l'élan qui pousse le jeune homme bien peigné vers ses compatriotes dissemblables. Il a tellement d'aisance, il ne manifeste, même malgré lui, aucune réticence, il ne paraît pas forcer sa nature", écrit-il à un moment. Pourtant, il connaissait les dangers de son entreprise : "Je sais parfaitement que le risque existe que je cède à la séduction, que je sois instrumentalisé, voire manipulé. Peut-être se contente-t-il de me faire travailler à sa propre gloire. Chercherai-je à m'en défendre, en l'égratignant ici ou là? Me laisserai-je faire quelquefois? Souvent?", s'interrogeait-il dans son ouvrage.  

    le JDD.fr

    On dirait que Besson est tombé amoureux de Macron d'après son livre !!!


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  • Agnès Saal nommée haut fonctionnaire à l'égalité et la diversité au ministère de la Culture

    Agnès Saal, condamnée en 2016 pour des frais de taxis indus, va occuper ce poste pendant trois ans, précise l'arrêté publié au JO jeudi.

    L'ex-patronne de l'Institut national de l'audiovisuel (Ina) Agnès Saal, qui avait été suspendue pour des frais de taxis indus, a été nommée haut fonctionnaire à l'égalité, la diversité et la prévention des discriminations auprès du secrétaire général du ministère de la Culture, selon un arrêté publié au Journal Officiel.

    Pour une durée de trois ans.

    Ce poste d'une durée de trois ans prendra effet à compter de samedi 1er septembre, selon l'arrêté publié mercredi au JO.

    Suspendue six mois...

    Directrice générale du centre Pompidou de 2007 à 2014, puis présidente de l'Ina de mai 2014 à avril 2015, elle avait dû démissionner après des révélations sur ses dépenses excessives en taxis (près de 24.000 euros à l'Ina et près de 24.000 euros au Centre Georges-Pompidou), qui lui ont valu 2 ans de suspension dont 6 mois de suspension sans solde et une condamnation à trois mois de prison avec sursis et une double amende.

    ... avant d'être réintégrée au ministère en 2016.

    Elle avait réintégré le ministère de la Culture à l'été 2016, en tant que chargée de mission auprès du secrétariat général pour piloter les démarches de labellisation Afnor sur l'égalité professionnelle et la diversité.

    Europe 1

    Un gouvernement exemplaire (MDR)


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  • Les Français, des "Gaulois réfractaires" : Macron plaide l'humour

    Emmanuel Macron a réagi jeudi à la propre polémique qu'il avait provoquée, en qualifiant la veille les Français de "Gaulois réfractaires au changement". Comme ses ministres avant lui, le chef de l'Etat a évoqué un "trait d'humour" mais a assumé une part de "vérité" dans sa remarque.

     

    Le "Gaulois" serait "réfractaire au changement" à en croire Emmanuel Macron mais, a ajouté l'intéressé jeudi, il devrait également avoir le sens de l'humour. Le chef de l'Etat a réagi dans la matinée depuis la Finlande à la propre polémique qu'il avait suscitée la veille par ses propos tenus au Danemark. Alors que l'opposition y a vu une marque de mépris supplémentaire de sa part, lui comme les ministres invités jeudi dans les matinales ont fait valoir un "trait d'humour" tout en assumant une partie du propos.

    "Je n'ai pas le sentiment que ce soit un scoop que la France ait été composée de tribus gauloises et c'est pour moi une très grande fierté", a d'abord assuré Emmanuel Macron lors d'une conférence de presse commune avec le président finlandais. "Je le faisais par un trait d'humour dans un discours que j'incite à relire ou réentendre dans son intégralité", a-t-il ajouté, en réexpliquant son propos. "Je suis toujours étonné de voir que des gens qui pensent que c'est mépriser les Français de dire qu'ils ont été des tribus gauloises - les mêmes qui vous expliquent chaque matin qu'on devrait ne rester que Gaulois pour toute l'éternité", a-t-il poursuivi, dans une allusion sans doute à une partie de la droite et l'extrême droite. Et d'appeler à prendre de la "distance" par rapport aux "réseaux sociaux".

    Pas "du mépris que de dire la vérité", assume-t-il

    "Après moi j'aime la France et les Français, n'en déplaise, [...] je les aime ces tribus gauloises", a-t-il encore tenu à faire savoir. Et d'assurer quand même que "ce n'est pas du mépris que de dire les choses et la vérité". "Nous sommes un pays, moi le premier, qui n'aime pas les changements et les ajustements permanents", "si je pensais que nous n'étions que réfractaires, je ne serai pas devant vous et je n'aurais d'ailleurs sans doute pas été élu", a-t-il ajouté, en appelant au "goût de l'intelligence" et à "l"humour" des Français. "J'assume, j'aime notre pays, j'aime notre peuple."

    Au Danemark, Emmanuel Macron avait déclaré devant la communauté française du pays son admiration pour le modèle danois de "flexisécurité", et a admis que les différences culturelles entre Français et Danois ne permettaient pas de le répliquer à l'identique. "Il ne s'agit pas d'être naïf, ce qui est possible est lié à une culture, un peuple marqué par son histoire. Ce peuple luthérien, qui a vécu les transformations de ces dernières années, n'est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement! Encore que! Mais nous avons en commun cette part d'Européen qui nous unit", a-t-il plaisanté. 

     

    Cela "fait partie de notre identité", assure Bruno Le Maire

    Avant lui, le gouvernement avait déjà tenté de prendre la défense du chef de l'Etat. "Moi j'adore Astérix et je crois que les Français adorent ce personnage de BD. Si on ne peut plus manier l'ironie et la plaisanterie et si chaque fois un mot employé est décortiqué, instrumentalisé, on va tous faire de la langue de bois en chêne massif", a ainsi prévenu jeudi sur France 2 le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux, en dénonçant "les cris d'orfraie" de "la classe politique".

    Même opinion de la part de Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie. "Nous aimons bien la contestation, voilà, cela fait partie de notre identité nationale. Je crois que c'est un simple constat amusé qu'a fait le président de la République", a-t-il déclaré sur Radio Classique. Sa collègue à la Justice, Nicole Belloubet, a elle convenu que "le peuple gaulois n'existe plus depuis longtemps" : "Je n'aime pas les polémiques inutiles, il faut comprendre qu'il y a dans cette formule une forme d'ironie qui n'est pas du tout conforme à la réalité", a expliqué la garde des Sceaux sur France Info.

    Pour Griveaux, c'est la faute des "partis politiques"

    Benjamin Griveaux a même été plus loin en évoquant en fait derrière ces "Gaulois réfractaires" une critique... des opposants. "Les Gaulois réfractaires, ce sont les partis politiques qui depuis trente ans ne veulent rien changer, qui depuis quinze jours nous jouent la 'surviolence' dans les mots, qui veulent retrouver le confortable clivage gauche-droite parce qu'ils l'ont toujours connu", a déclaré le porte-parole du gouvernement. Et de citer par opposition "les Français [qui] ont démontré depuis un an qu'ils avaient fait le pari d'un changement profond en élisant un jeune président de la République". "Ils ont assumé une transformation et ils sont beaucoup moins réfractaires au changement que les partis politiques et les oppositions", a-t-il ajouté, dans une interprétation assez libre des propos d'Emmanuel Macron. 

    Les oppositions en question ont vu derrière cette sortie tout autre chose. "Il est inadmissible d'entendre un président critiquer et caricaturer les Français", a accusé sur Europe 1 le patron des Républicains, Laurent Wauquiez. "Ce n'est pas à la hauteur du rôle d'un président de la République", a-t-il jugé. "Comme d'habitude, il méprise les Français depuis l'étranger! Les 'Gaulois' vont se faire un plaisir de répondre à son arrogance et son mépris", avait de son côté réagi sur Twitter Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national. Les insoumis de Jean-Luc Mélenchon ont pour leur part parlé "d'humiliation" (Alexis Corbière) et de "sottise confondante" (Adrien Quatennens).

    le JDD.fr


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  • USA: 14 millions de dollars pour les victimes d'un rabbin voyeur

    De nombreuses femmes filmées à leur insu par un rabbin voyeur dans une synagogue de Washington, alors qu'elles procédaient à des ablutions rituelles, ont obtenu 14,25 millions de dollars de dédommagement dans un accord signé avec quatre organisations juives.

    L'accord concerne plus de 150 femmes dont l'enquête a prouvé qu'elles ont été filmées par Bernard "Barry" Freundel, ainsi que d'autres femmes qui se sont dévêtues dans la pièce où cet éminent rabbin orthodoxe avait dissimulé une caméra, a expliqué mercredi à l'AFP l'avocate Alexandra Harwin.

    Le rabbin Freundel a été condamné en 2015 pour ces faits à 6 ans et demi de prison. Ses actes de voyeurisme ont duré des années avant d'être découverts.

    Rabbin de la synagogue Kesher Israel, dans le quartier cossu de Georgetown, il avait placé sa caméra secrète près du mikvé, le bain rituel servant aux rites de pureté familiale dans le judaïsme.

    L'affaire avait suscité un vif émoi au sein de la communauté juive de Washington, le rabbin Freundel étant une personnalité très respectée jusqu'à l'éclatement du scandale. Il enseignait notamment dans plusieurs universités de la région.

    "Cet accord offre une excellente voie de rétablissement aux membres du recours collectif. L'accord prévoit un paiement rapide et conséquent aux femmes persécutées par Freundel, tout en garantissant leur confidentialité et en leur évitant une procédure trop pesante", a déclaré Mme Harwin, représentant les victimes.

    La procédure en recours collectif qu'elle a défendue demandait initialement 100 millions de dollars de dommages-intérêts. Une grosse part du dédommagement sera par ailleurs versée par les compagnies d'assurance.

    Le rabbin Freundel ne devrait pas être libéré de prison avant 2020, selon son avocat cité par le Washington Post.

    AFP


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 30 08 2018

     

    Passez une bonne journée


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  • Belgique: trois enfants découverts morts chez eux, la mère suspectée

    Trois enfants en bas âge ont été découverts morts mercredi au domicile familial près de Bruges, dans le nord de la Belgique, peu après la tentative de suicide en voiture de leur mère qui, selon les médias belges, a avoué aux secouristes les avoir tués.

    Un porte-parole du parquet de Bruges a confirmé l'ouverture d'une enquête pour un triple meurtre, mais refusé de s'exprimer sur les soupçons pesant sur la mère.

     

    "Elle n'a pas encore été interrogée, le juge d'instruction saisi ne veut rien communiquer à ce stade", a déclaré ce porte-parole, Yves Segaert.

     

     Elle a avoué qu'elle venait de tuer ses enfants

    Selon les médias locaux, la mère, une infirmière de 30 ans, a été hospitalisée après avoir foncé délibérément en voiture contre le pilier d'un pont autoroutier à une dizaine de km de son domicile, mercredi vers 02 heures.

    Elle a alors avoué aux secouristes qu'elle venait de tuer ses enfants un peu plus tôt dans la nuit, toujours selon les premiers éléments révélés par les médias.

     

    Une fillette de 4 ans, un garçon de 2 ans et un bébé de moins de 3 mois !

    Sur place, dans un lotissement de Varsenare, ont ensuite été découverts les corps sans vie d'une fillette de 4 ans, d'un garçon de 2 ans et d'un bébé de moins de trois mois, a précisé le quotidien flamand Het Nieuwsblad.

    Le porte-parole du parquet a confirmé les âges des enfants.

    Selon la chaîne francophone RTBF, le père était présent dans la maison au moment des faits.

    BFM.TV

    Quel horreur !

    Mais le père n'a pas empêcher ces crimes ?


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 29 08 2018


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