• Le cliché d'Emma­nuel Macron à la chasse que l'Élysée voulait garder secret

    Le petit roi, grand ami des chasseurs

    Lors de sa visite au château de Cham­bord, le président de la Répu­blique a rencon­tré la Fédé­ra­tion Natio­nale des Chas­seurs. Et si l'équipe de commu­ni­ca­tion d'Emma­nuel Macron voulait préser­ver le public de ces images, la fédé­ra­tion, elle, n'a pas pu s'empê­cher de poster sur les réseaux sociaux la preuve du soutien du président à sa cause.

     

    Sur le compte Twit­ter de la Fédé­ra­tion Natio­nale des Chas­seurs en ces temps festifs, on retrouve une charge contre ceux qui auraient l'impu­dence de réveillon­ner végé­ta­rien ou vegan, mais égale­ment une série de messages fiers de l'appui du président de la Répu­blique à la cause de la chasse en France. En effet, alors que l'équipe de commu­ni­ca­tion du président de la Répu­blique aurait préféré lais­ser sans images la rencontre qui a eu lieu , à Cham­bord mi-décembre, entre Emma­nuel Macron et la Fédé­ra­tion Natio­nale des Chas­seurs, qu'il a d'ailleurs promis de revoir bien­tôt, la fédé­ra­tion, elle, a décidé que son image ne pouvait que profi­ter d'un tel soutien.

    Selon Le canard enchaîné, le président de la Répu­blique avait pour­tant « person­nel­le­ment demandé aux parti­ci­pants qu'aucune photo ne soit prise ». Et dans le jour­nal Le Monde, on rapporte qu'à l'Élysée on est bien "conscient qu'un cliché d'animaux morts ensan­glan­tés risquait de choquer, surtout avant les fêtes de Noël".

     

     

     

    Mais en faisant fi des consignes, sous la photo publiée deux fois sur le compte, la fédé­ra­tion commente : « Le Président de la Répu­blique Emma­nuel Macron était au domaine de Cham­bord ce soir. Il a salué la contri­bu­tion de la chasse à la nature. » Puis « Emma­nuel Macron a défendu la chasse comme une valeur forte du pays. Enga­ger avec Willy Schraen (le président de la Fédé­ra­tion Natio­nale des Chas­seur ndlr) la réforme la chasse » Emma­nuel Macron n'aurait donc pas seule­ment profité de son week-end de célé­bra­tion d'anni­ver­saire en famille pour visi­ter le château de Cham­bord ou saluer les pandas au Zoo de Beau­val, mais aussi pour prendre contact avec une orga­ni­sa­tion aujourd'hui contro­ver­sée.

     

     Chasseurs de France  @ChasseursFrance 

     

    Le Président de la République @EmmanuelMacron était au @domainechambord ce soir. Il a salué la contribution de la à la .


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  • "Ça suffit !" : "L'indécence" de Castaner sur les sans-abris scandalise les associations

    "Ça suffit, maintenant !" tweete la Fondation Abbé Pierre ce dimanche midi, ulcérée par le délégué général de La République en Marche.

    Vendredi, le délégué général de LREM a estimé sur BFMTV qu'Emmanuel Macron avait tenu l'engagement qu'il a pris au mois de juillet dernier vis-à-vis des sans-abris, à savoir celle de ne "plus avoir des femmes et des hommes dans les rues, d'ici la fin de l'année". Des propos qui ont fait bondir les associations qui oeuvrent au quotidien pour venir en aide aux plus démunis. Pour eux, cette promesse n'a vraiment pas été remplie. Pire, ils estiment que l'acharnement de Christophe Castaner à l'affirmer relève de l'indécence, alors qu'au moins 403 sans-abris sont morts en France en 2017. 

    SUITE ARTICLE :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/%c3%a7a-suffit-lind%c3%a9cence-de-castaner-sur-les-sans-abris-scandalise-les-associations/ar-BBHz6AJ?li=BBoJIji&ocid=PerDHP


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  • Légion d'honneur : qui sont les promus du 1er janvier?

    Autant de femmes que d'hommes figurent parmi les 336 personnes distinguées dans la promotion du 1er janvier, deux mois après qu'Emmanuel Macron a voulu durcir les conditions d'attribution.

     

    La promotion du 1er janvier 2018 de la Légion d'honneur respecte, pour la deuxième fois cette année, la parité. Autant de femmes que d'hommes figurent parmi les 336 personnes distinguées. La grande chancellerie de la Légion d'honneur rappelle qu'à la demande d'Emmanuel Macron, trois critères d'attribution ont été privilégiés : l'universalité, le mérite et l'engagement au service de l'intérêt général. 

    C'est à ce titre qu'a été promue officier Véronique Colucci, 69 ans : la veuve de Coluche, administratrice des Restos du cœur, poursuit ainsi l'œuvre humanitaire de l'humoriste disparu en 1986. Plusieurs personnalités de la culture sont distinguées : la philosophe Catherine Clément, 78 ans ; le dessinateur Tomi Ungerer, 86 ans, auteur de Jean de la Lune, sont élevés au rang de commandeur ; la productrice de cinéma Sylvie Pialat, 57 ans, veuve du réalisateur Maurice Pialat, à celui d'officier.

     

    Le résistant Daniel Cordier doyen de la promotion

    Sont promus au grade de chevalier l'ancien ministre (LR) Dominique Bussereau, 65 ans ; l'ancien député (PS) Dominique Raimbourg, 67 ans, fils de l'acteur Bourvil. L'ex-juge antiterroriste Laurence Le Vert, 66 ans ; et l'actuel directeur général de la sécurité extérieure (DGSE), le diplomate Bernard Émié, 59 ans, deviennent officiers. Le doyen de cette promotion est le résistant Daniel Cordier, 97 ans, compagnon de la Libération et secrétaire de Jean Moulin, distingué de la grand-croix. À noter que le communiqué diffusé par la grande chancellerie ne mentionne pas tous les promus, dont la liste intégrale est publiée au Journal officiel du 31 décembre.

    le JDD


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  • Smic, tarifs, amendes : ce qui va augmenter le 1er janvier

    Tour d'horizon des principales augmentations qui s'appliqueront au 1er janvier 2018.

    Comme chaque début d'année, le montant d'un certain nombre d'indicateurs est réévalué à partir du 1er janvier et devrait modifier le pouvoir d'achat des Français. Le Salaire minimum va gagner 1,24% tandis que les prix du carburant ou de l'énergie vont exploser. Le gouvernement offre également cette année une "prime à la conversion" pour encourager les automobilistes à changer de voiture. Les amendes pour stationnement frauduleux dépendront, elles, des communes. Le JDD fait un tour d'horizon des principales augmentations en 2018.

     

    Primes automobile

    2018 s'annonce comme une bonne année pour changer de voiture. Le gouvernement offre une "prime à la conversion" de 1.000 à 2.000€ pour les automobilistes mettant au rebut leur véhicule essence (d'avant 1997) ou diesel (d'avant 2006). La prime montera à 2.500€ pour l'achat d'une auto électrique. L'objectif est clair : éliminer 100.000 voitures polluantes du parc en 2018.

     

    Timbres

    Les nouveaux prix des timbres entrent en application ce lundi. Il faudra compter 0,95€ pour une lettre prioritaire (timbre rouge), 0,80€ pour une lettre verte et 0,78€ pour l'envoi Écopli, la formule d'envoi la plus lente. Quant au tarif Collissimo, il augmentera de 1,5%.

    Énergie

    Les prix s'enflamment. Les tarifs réglementés du gaz vont augmenter de 6,9%. Les clients d'Engie connaîtront une hausse de tarifs de +2,3% en moyenne, répartie différemment en fonction de l'utilisation du gaz naturel (cuisson, chauffage et eau chaude ou chauffage). Les tarifs sociaux de l'électricité et du gaz sont remplacés par un chèque énergie de 150€ en moyenne distribué au printemps.

    © Reuters Tour d'horizon des principales augmentations qui s'appliqueront au 1er janvier 2018.

    Carburant

    À la pompe, les prix montent en flèche. Avec l'alignement progressif de la fiscalité du gasoil sur celle de l'essence, le coût du litre de diesel va grimper de 7,8 centimes demain matin. Le litre d'essence sera, lui, en hausse de 3,84 centimes. Les fiscalités des deux carburants s'aligneront en 2021.

     

    Stationnement

    Adieu, l'amende de 17€ pour stationnement frauduleux. À partir de demain, les communes fixeront le montant de ce qui s'appellera le forfait post-stationnement. De fortes disparités sont à prévoir entre les communes : 50€ à Paris, 60€ à Lyon… et 17€ à Marseille.

     

    Smic

    Bonne nouvelle, le smic brut va gagner 1,24%. Il s'établira à 9,88€ de l'heure, soit 1.498,47€ brut par mois pour 35 heures hebdomadaires. Cette hausse de 18€ par mois va de pair avec la généralisation du bulletin de paie simplifié, déjà en place dans les entreprises de plus de 300 salariés.

     

    Fiscalité du patrimoine

    Les revenus mobiliers subiront un prélèvement forfaitaire unique de 30 % à l'exception du Livret A, du PEA et des contrats d'assurance-vie de plus de huit ans et de moins de 150.000€.

    Le JDD


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  • Mais qui se soucie de nous ? Pas vous roi macron !


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  • Pour 2018, Poutine appelle Trump à "avancer vers une coopération pragmatique"

    Dans ses vœux de fin d'année, le président russe apporte, par ailleurs, son soutien au régime syrien.

    Le président russe, Vladimir Poutine, a appelé son homologue américain, Donald Trump, à une "coopération pragmatique", à l'occasion de ses vœux de Nouvel An, samedi 30 décembre. "Un dialogue russo-américain constructif est particulièrement nécessaire pour renforcer la stabilité stratégique dans le monde", a-t-il écrit aux dirigeants du monde.

    Vladimir Poutine estime que "le respect mutuel" doit constituer "une base au développement des relations" entre les deux pays. "Cela devrait nous permettre d'avancer vers une coopération pragmatique, orientée sur le long terme", ajoute-t-il.

     

    Des vœux à Bachar Al-Assad

     Le président Poutine a envoyé des messages à d'autres chefs d'État, notamment ceux des pays de l'ancienne URSS, au Français Emmanuel Macron, à l'Allemande Angela Merkel et au président syrien Bachar Al-Assad.

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    Dans ses vœux au président syrien, qu'il a rencontré début décembre en Syrie, Vladimir Poutine "exprime le sincère désir de voir la poursuite de changements majeurs en Syrie dans l'année qui vient". "La Russie continuera d'exprimer toutes formes de soutiens à la République arabe syrienne, dans le but de protéger sa souveraineté, son unité et son intégrité territoriale", promet-il.

    Franceinfo


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  • Il joue bien cet André Rieu !


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  • Suède: Violée et brûlée vive à 17 ans

    A Malmö dans le paradis suédois, les viols collectifs de jeunes suédoises par des « migrants » sont monnaie courante, seules les associations de défense de la racaille s’y intéressent pour stigmatiser la « détresse » des « migrants » en manque… et en organisant des « cours de drague » pour les gnoules!

    Mais samedi dernier, un viol a retenu particulièrement l’attention: Une écolière de 17 ans a été attaquée et violée par plusieurs musulmans (Ben oui, disons-le!). Pour terminer, ces derniers ont déversé un liquide inflamable dans le vagin de la fille et y ont mis le feu.

    A acte exceptionnel, réaction exceptionnelle: Des citoyens suédois ont attaqué et brûlé un camp de « migrants »; laissant 18 gnoules sur le carreau. Incroyable? Mais bien sûr c’est hélas faux! La réaction exceptionnelle des citoyens suédois a été de manifester à Malmo « pour protester contre le viol ».

    Rappellons que la semaine dernière, le parlement suédois a voté une loi tout à fait incroyable, face aux nombreux cas de viols dans le pays. En 2016 en effet, 129000 (oui, 129.000) femmes ont été victimes d’agression sexuelle en Suède, ce qui représente une augmentation de 70% depuis l’arrivée des « migrants », mais attention, il ne faut surtout pas faire de lien! La nouvelle loi donc, déclare que tout acte sexuel commis sans le consentement de quiconque est un viol! Incroyable non? Dans tous les pays civilisés, ceci est la règle. Mais au pays du Modèle Suédois, c’est un acte de bravoure incroyable!

    Réseau Libre


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  • "Plus personne dans les rues à la fin de l'année" : pourquoi la promesse d'Emmanuel Macron n'est pas tenue

    En juillet, dans un discours concernant les demandeurs d'asile, le chef de l'État avait souhaité "ne plus voir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois ou perdus" d'ici la fin décembre.

    Franceinfo revient sur cette promesse alors que 2017 touche à sa fin.

    "La première bataille, c'est de loger tout le monde dignement. Je ne veux plus, d'ici la fin de l'année, avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois ou perdus", déclarait Emmanuel Macron le 27 juillet. Quelques jours avant le passage à 2018, le président de l'association Droit au logement s'est rappelé à son bon souvenir. "On n'oubliera pas que le président de la République a dit qu'il n'y aurait plus personne cet hiver à la rue", a lancé lundi 25 décembre Jean-Baptiste Eyraud sur franceinfo, insistant sur le fait que le pays compte quelque 140 000 personnes sans-abri.

    Certes, la promesse d'Emmanuel Macron, formulée lors d'une cérémonie de naturalisation à Orléans (Loiret), ne concernait a priori que les demandeurs d'asile. Mais certains d'entre eux restent à la rue, malgré une augmentation des places d'hébergement d'urgence. Franceinfo vous explique pourquoi cet engagement présidentiel ne sera pas tenu dans les temps.

    Des évacuations de camps sans solutions durables

    Après le démantèlement de la "jungle" de Calais l'an dernier, la destruction du camp de Grande-Synthe (Nord), en avril, et l'évacuation de celui de La Chapelle à Paris cet été, il ne reste plus de grands camps de migrants en France. Mais régulièrement, ici ou là, de plus petits se reforment, et sont à leur tour démantelés par les forces de l'ordre. Au cours du mois de décembre, des camps ont ainsi été évacués à Tatinghem (Pas-de-Calais) et à Mâcon (Saône-et-Loire).

    Des "mises à l'abri" temporaires sont le plus souvent proposées aux personnes évacuées, mais les solutions de long terme n'existent pas. Et quelques jours plus tard, les migrants sont de retour. Selon un chiffre diffusé en novembre par Médecins du monde, un millier de migrants se trouvent ainsi en situation "d'errance" à Paris et en Seine-Saint-Denis.

    "L'objectif n'est pas atteint", observe ainsi le directeur de France Terre d'asile, Pierre Henry. Interrogé par franceinfo, il estime que sur l'ensemble du territoire, "il y a probablement quelques milliers de migrants à la rue en cette fin d'année". Une situation qu'il incombe à la politique menée par le ministre de l'Intérieur : "Il a considéré que 'plus personne à la rue', ça voulait dire 'plus aucun demandeur d'asile', et que selon lui, certains n'étaient pas des demandeurs d'asile, critique le directeur de l'association. On a inversé les priorités. La priorité aurait été de mettre tout le monde à l'abri puis, ensuite, que l'on regarde la situation des personnes."

    Des hébergements d'urgence supplémentaires, mais dont le nombre reste insuffisant

    "La mobilisation du gouvernement est totale pour répondre à l’engagement présidentiel du 'plus personne à la rue', se défend le ministère de la Cohésion des territoires, interrogé par franceinfo. 80 000 places sont consacrées aux demandeurs d’asile dans le dispositif national d'accueil géré par le ministère de l'Intérieur."

    Quant à l'offre d'hébergement d'urgence généraliste, le ministère précise qu'elle s'élève cette année à 141 000 places pour accueillir les plus démunis, soit 13 000 de plus que l'année dernière à la même période. Un parc qui doit être élargi, avec 4 000 places supplémentaires en 2018 et 3 500 en 2019.

    Mais malgré ces efforts, le système d'hébergement d'urgence reste saturé. En 2012, une enquête de l'Insee évaluait à 141 500 personnes le nombre de personnes sans domicile en France (demandeurs d'asile compris), un chiffre en hausse de 50% en une dizaine d'années. "Plusieurs indicateurs nous montrent que le phénomène a tendance à s'accroître", déplore le directeur de la Fondation Abbé-Pierre, interrogé par franceinfo. "Les hôtels et les hébergements affichent complet dans pas mal de grandes villes, observe Christophe Robert. Et en 2017, un appel sur deux au 115 n'a pu déboucher sur aucune solution immédiate d'hébergement."

    Un plan "Logement d'abord" qui mettra du temps à produire ses effets

    Les moyens alloués à l'hébergement d'urgence ne sont qu'une partie du problème. "Les crédits augmentent chaque année, mais ce n'est absolument pas suffisant. Il faut des solutions beaucoup plus durables", estime Christophe Robert. Le député LREM Aurélien Taché, spécialiste des questions de logement et président du Conseil national de l'habitat, acquiesce : "On ne sortira jamais de cette spirale si on ne traite pas les questions de fond", estime-t-il, interrogé par franceinfo.

    Cela passe notamment par une remise à plat complète du système de l'asile en France, explique le député, mais aussi par la possibilité pour les sans-abri d'accéder directement à un logement, sans passer par les centres d'hébergement. "Ça n'a jamais été fait et on est en train de le mettre en œuvre", s'enthousiasme-t-il. Le plan "Logement d'abord" préparé par le gouvernement vise ainsi à financer, sur la durée du quinquennat, 50 000 logements destinés aux plus précaires.

    Ce plan de longue haleine ne produira pas ses effets immédiatement. Pour aller plus vite, le ministère de la Cohésion des territoires a lancé un appel aux collectivités locales : quinze territoires seront choisis, dans lesquels l'État garantira une mise en œuvre accélérée de ce plan.

    Devant ces annonces, les associations restent pour le moment prudentes. À la Fondation Abbé-Pierre, qui milite pour ce système depuis plusieurs années, Christophe Robert reconnaît que "la stratégie est la bonne", mais estime aussi que "l'ambition n'est pas suffisante à ce stade". Surtout, il pointe l'"incohérence" du gouvernement qui parallèlement à ces annonces a décrété une baisse des aides au logement, à raison de 60 euros par an pour chaque bénéficiaire et de 800 millions d'euros pour les bailleurs sociaux qui risquent ainsi de moins construire de logements.

    Franceinfo


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  • Durcissement du contrôle des chômeurs : les pistes envisagées par le gouvernement

    Selon "le Canard enchaîné", chaque demandeur d'emploi devra remplir "un rapport d'activité mensuel".

    Le gouvernement envisage de durcir certaines sanctions dans le cadre de la future réforme de l'assurance chômage, assure "le Canard enchaîné" daté du 27 décembre, citant une note confidentielle du ministère du Travail.

    Actuellement, en cas de recherche d'emploi insuffisante ou de refus de formation, un chômeur peut voir son allocation réduite de 20% pendant deux à six mois. En cas de manquement répété, l'allocation baisse de moitié pendant deux à six mois, voire est supprimée définitivement. En cas de refus à deux reprises d'une offre raisonnable d'emploi, l'allocation est suspendue pendant deux mois. Si le refus se répète, elle peut être supprimée pendant deux à six mois, voire définitivement.

    Selon la note citée par l'hebdomadaire satirique, une recherche insuffisante, un refus de formation ou un refus de deux offres d'emploi jugées raisonnables, entraînerait une réduction des allocations de 50% pendant deux mois. En cas de récidive, elles seraient supprimées pour une durée de deux mois.

    En outre, chaque demandeur d'emploi devra remplir un "rapport d'activité mensuel", listant l'ensemble des démarches effectuées pour favoriser son retour à l'emploi, selon cette note rédigée par Antoine Foucher, directeur de cabinet de la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, et ancien cadre du Medef.

    Pierre Gattaz, numéro un du Medef, avait suggéré en octobre un contrôle "journalier", "hebdomadaire" ou "mensuel" des demandeurs d'emploi, suscitant un tollé.

    Négociations en début d'année

    La négociation sur la réforme de l'assurance chômage doit débuter le 11 janvier et s'achever mi-février. Les partenaires sociaux prévoient de négocier, entre autres, du contrôle des chômeurs, un sujet sur lequel le gouvernement souhaitait initialement garder la main.

    Dans le document d'orientation envoyé mi-décembre aux syndicats et au patronat pour cadrer la négociation, le ministère du Travail explique qu'il "proposera" une réforme "du barème et des modalités de sanctions dans les semaines qui viennent".

     

    "Cette réforme permettra de moderniser les règles relatives à la proposition d'une offre raisonnable d'emploi. Elle sera génératrice d'une meilleure application des règles et d'un accompagnement plus efficace des demandeurs d'emploi".

     

    Le 22 novembre, Pôle Emploi a dressé le premier bilan du contrôle des chômeurs, entamé fin 2015 : 269.000 contrôles ont abouti à 14% de sanctions.

    L'OBS


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  • Philippines: 20 membres d'une même famille tués en allant à la messe de Noël

    Vingt membres d'une même famille, dont six enfants, ont péri ce lundi dans une collision entre deux autocars dans le nord des Philippines, alors qu'ils se rendaient à une messe de Noël.

     

    Un petit autocar transportant le groupe a percuté un plus gros autobus dans la ville d'Agoo, à 200 km au nord de Manille, a précisé la police. Les vingt morts se trouvaient tous à bord du petit autocar qui les emmenait à une messe, à l'aube, à l'église de Manaoag, à une vingtaine de kilomètres au Sud. Neuf autres personnes à bord de ce véhicule ont été blessées, de même que 17 occupants du gros bus.

    Collision au moment de doubler une voiture

    C'est à Manaoag que se trouve l'église, vieille de plusieurs siècles, de Notre-Dame-du-Très-Saint-Rosaire, qui est un haut lieu de pèlerinage catholique aux Philippines car elle abrite une icône de la Vierge à l'enfant Jésus apportée d'Espagne au 17e siècle, à laquelle des miracles sont attribués par les fidèles.

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    Roy Villanueva, le chef de la police d'Agoo, a déclaré à la station de radio de Manille DZMM que la collision était survenue au moment où le petit autocar doublait un troisième véhicule. La famille arrivait de la ville de Bauang, à une heure de route de Manaoag, selon la police.

    L'Express

    Hélas, là, il n'y a pas eu de miracle mais une terrible catastrophe !


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  • Sauvetage d'un château du Poitou: l'achat participatif bat des records

    Le sauvetage d'une romantique ruine du Poitou, par rachat participatif, a dépassé toutes les attentes. Le château de La Mothe-Chandeniers, situé dans la Vienne, va compter près de 25 000 fiers et anonymes copropriétaires de 115 pays qui ont réuni plus de 1,6 million d'euros pour l'acheter et le rénover, du moins en partie.

     

    "C'est un record en France et sans doute en Europe en termes de fonds levés et de contributeurs" a affirmé mardi Romain Delaume, PDG de l'agence de financement participatif Dartagnans.fr, qui a lancé en octobre l'opération d'achat collectif avec l'association Adopte un château, réseau d'aide et conseil aux châteaux en danger.

    De France et des Etats-Unis en majorité, mais aussi d'Afghanistan, du Burkina Faso, du Pérou, des anonymes ont acquis en deux mois et demi pour 50 euros "leur" bout de château ou l'ont offert à un proche à Noël. Ils pourront via 1 euro supplémentaire devenir actionnaire de la société par action simplifiée (SAS) en cours de lancement.

    L'offre est à présent close et le nombre total de contributeurs avoisine les 19 000, certains ayant acheté plusieurs parts pour faire des cadeaux, ce qui portera, une fois tout dépouillé, le nombre total de propriétaires à 25 000.

    Assemblée générale annuelle et comité exécutif

    La société fonctionnera avec conseil d'administration, assemblée générale annuelle, comité exécutif, et un site dédié permettra à chaque copropriétaire de suivre l'avancée des travaux et les événements-notamment grâce à des webcams-, ou d'envoyer des propositions.

    Cerné de douves, sa façade hérissée de tours, mais à l'intérieur sans toit et envahi depuis des lustres par la végétation, le château de La Mothe-Chandeniers remonte au XIIIe siècle, mais sa version actuelle date du XIXe siècle.

    Probablement saccagé à la Révolution, il a été racheté en 1809 et rénové en conservant une partie de l'édifice médiéval puis rénové de nouveau et plus massivement à fin du XIXe dans un style romantique. Détruit par un incendie en 1932, il a été racheté en 1982 par un local amoureux du patrimoine, aujourd'hui âgé de 82 ans, avec qui un compromis de vente a été conclu en octobre, pour 500 000 euros.

    Trois millions pour une rénovation complète

    Résidence d'artistes, lieu de manifestations culturelles, de spectacles, partiellement chambre d'hôte, aucune hypothèse n'est exclue parmi les multiples suggestions de donateurs.

    L'idée est que le château devienne un "laboratoire collaboratif et créatif", un "lieu qui vit" souligne Dartagnans.fr. Même s'il ne s'agit a priori pas de le restaurer entièrement, ce qui coûterait au bas mot 3 millions d'euros, selon Romain Delaume.

     

    Les prochaines semaines vont être consacrées à une étude de la structure du château, de l'impact de la végétation depuis un siècle, puis une sécurisation, en vue "dès que possible en 2018" d'une visite réservée aux actionnaires, tandis que seront séquencés les travaux à venir, avec une probable priorité en 2018 à la tour porche surplombant les douves, et l'idée d'un premier chantier de bénévoles avant l'été.

    L'Express

    Pourquoi pas !


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  • Aveyron : une ambulance des pompiers volée en pleine intervention la nuit de Noël

    Illustration

    Les pompiers de l'Aveyron se sont faits voler une de leurs ambulances dans la nuit du dimanche 24 au lundi 25 décembre lors d'une intervention à Millau, a appris franceinfo.

    Pendant que les pompiers venaient en aide à une personne en détresse respiratoire, un individu a volé l'ambulance, actionné la sirène et a fait plusieurs kilomètres avant de s'encastrer dans un mur.

     

    L'ambulance est hors d'usage

    Le voleur n'a toujours pas été identifié. L'ambulance est hors d'usage. Il faudra plusieurs semaines pour la remettre en état et pour qu'elle soit à nouveau utilisable en intervention. Les pompiers de l'Aveyron ont porté plainte.

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    Une autre plainte a été déposée, après l'agression verbale et physique dont ont été victimes des pompiers à Decazeville. Un homme sous l'emprise de l'alcool,  qu'ils étaient venus secourir, a été placé en cellule de dégrisement.

    Franceinfo


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  • Italie : l'ambulancier tueur roulait pour la mafia

    Davide Garofalo est soupçonné d'avoir achevé des malades dans son véhicule. Des crimes commis pour quelques centaines d'euros, et en lien avec Cosa Nostra.

    « Si tu veux, je ne le tue pas, mais alors tu me donnes les 200 €. Tu les as ? » C'est la réponse cinglante faite par Davide Garofalo à son collègue ambulancier, un jour que celui-ci avait tenté de se rebeller contre ses ignobles pratiques. L'homme s'émouvait du sort réservé au père de l'un de ses amis, mais, faute d'argent, n'avait pas pu s'interposer : Davide Garofalo avait alors, comme à l'accoutumée avec les malades en phase terminale qu'ils transportaient, injecté de l'air dans les veines du vieil homme, à l'arrière du véhicule, provoquant une embolie pulmonaire et, finalement, sa mort.

    L'ambulancier sicilien de 42 ans a été arrêté jeudi, suspecté d'être au centre d'un réseau mafieux qui achevait des personnes en fin de vie pour mieux escroquer leur famille.

    Des ambulances gérées par Cosa Nostra

    Ce sont les premières conclusions de l'opération dite Ambulance de la mort conduite par le parquet de Catane, à l'est de l'île. Celle-ci avait démarré en mai dernier, après la diffusion d'une enquête fouillée de l'émission « le Iene » (« les Hyènes »), un programme satirique culte en Italie. Le système, bien rodé, démarrait autour des hôpitaux de la région. L'entreprise d'ambulances, contrôlée par Cosa Nostra, y avait le monopole. Tous les décès survenaient dans le véhicule qui ramenait les malades chez eux afin qu'ils puissent rendre leur dernier souffle auprès des leurs. « Ce sont des gens qui allaient de toute façon mourir, détaille un témoin dans le reportage, mais ils ne mouraient pas de la main de Dieu. C'est dégueulasse, il tuait pour 200 ou 300 €... »

    La mort par embolie, très douloureuse, présentait l'avantage pour Garofalo et consorts d'être très rapide et invisible. Lorsque le médecin venait constater le décès — l'ambulancier sans scrupule indiquait que celui-ci était survenu au domicile —, il concluait généralement à une « défaillance respiratoire ». Profitant de la détresse des proches de la victime, Davide Garofalo s'empressait non seulement de recommander une société de pompes funèbres « amie » — qui lui versait une commission — mais également d'habiller les défunts en vue de l'enterrement. Une prestation qui lui rapportait 200 à 300 €, versés en liquide.

    Pour l'heure, l'homme a été mis en examen pour avoir tué au moins trois personnes entre 2014 et 2016, deux hommes et une femme de 94, 87 et 57 ans, mais l'enquête n'en est qu'à ses débuts. D'après plusieurs témoins, ces petits arrangements avec la mort duraient depuis au moins 2012, à un rythme d'une petite vingtaine par an. Deux autres hommes sont également soupçonnés d'avoir commis les mêmes faits et d'avoir agi « avec un mépris total de la vie humaine et de la dignité des personnes », selon les mots du procureur adjoint de Catane Francesco Puleio.

    Une cinquantaine de cas depuis au moins 2012

    La justice a saisi d'innombrables dossiers médicaux, mais resserre ses investigations sur environ cinquante cas, dont une dizaine (parmi lesquels ceux imputés à Garofalo) apparaissent d'ores et déjà comme particulièrement suspects. Des proches de défunts se souviennent en effet avoir vu leur parent avec la « manche relevée », celle de la perfusion, dans laquelle Garofalo enfilait sa fatale seringue.

     

    Le témoin clé qui accuse assure avoir voulu s'exprimer plus tôt, mais n'avoir pas osé, par peur de représailles : « Ces types-là, ce sont quand même les soldats des boss mafieux... » lâche-t-il, toujours dans l'émission. Mais une vague d'arrestations dans le milieu local a délié les langues. L'homme garde en mémoire un souvenir amer de ce jour où, après avoir vu mourir le père de son ami, Garofalo avait ajouté, cynique : « Celui-là, j'ai eu du mal à le faire mourir. Il a fallu que je m'y reprenne à plusieurs fois. »

    Le Parisien


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  • Accident à Grande-Synthe : "Il y a en ce moment énormément de migrants sur le bord de l'autoroute"

    Les migrants subissent "un harcèlement continuel, quotidien" de la part de la police, a dénoncé lundi sur franceinfo Claire Millot, secrétaire générale de l'association Salam !

     

    LIEN article :

    https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/accident-a-grande-synthe-il-y-a-en-ce-moment-enormement-de-migrants-sur-le-bord-de-l-autoroute_2530811.html

     

    Que d'associations !


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  • Afghanistan : six morts dans un attentat revendiqué par l'Etat islamique à Kaboul

    Six civils ont été tués par un attentat-suicide, lundi 25 décembre à Kaboul (Afghanistan), près d'un bureau des services de renseignement afghans, a annoncé  un porte-parole du ministère de l'Intérieur. Le groupe Etat islamique, par l'intermédiaire de son agence de propagande Amaq, a revendiqué les faits.

     

    L'attaque est survenue au moment où les employés arrivaient à leur bureau. Six civils qui se trouvaient dans une voiture ont été tués par l'explosion, et trois autres ont été blessés, a indiqué un porte-parole du ministère de l'Intérieur.

    Trois jours après une attaque des talibans

    "Nous ne connaissons toujours pas la cible de l'attaque", a affirmé le ministère, mais elle s'est déroulée près de l'entrée principale d'un complexe des services de renseignement. Cet attentat intervient une semaine après un assaut de l'EI contre un centre d'entraînement des renseignements dans la capitale afghane, qui avait duré plus de quatre heures, mais n'avait fait que des blessés légers.

    L'EI a récemment multiplié ses attaques en Afghanistan, notamment contre la minorité chiite à Kaboul. De leur côté, les talibans ont également accru leur harcèlement contre les forces de sécurité. Ils ont revendiqué l'explosion, vendredi, d'un véhicule militaire piégé à proximité d'un complexe policier, tuant au moins six personnes.

    Les forces de sécurité afghanes, affaiblies par les désertions et la corruption, perdent chaque année des milliers d'hommes. EN 2016, environ 6 800 soldats et policiers avaient été tués.

    Franceinfo

    Vive l'Islam - Allah ou akbar


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    L'Europe musulmane : c'est dans peu de temps ...

    Conseils à donner à vos petits enfants pour qu'ils aient le moins d'ennuis possible une fois arrivés à l'âge adulte :
    - Hommes : Laissez vous pousser la barbe.
    - Femmes : Achetez un voile noir.
    - Tous : Achetez un coran, lisez tout, retenez quelques versets pour les sortir à bon escient, laissez le bouquin très en évidence dans votre séjour. Demandez au médecin de circoncire les bébés garçons, sinon ce sera très désagréable de devoir le faire plus tard. Evidemment, donnez à tous les enfants un second prénom musulman.

    13% de musulmans en plus tous les 40 ans. C'est le rythme qu'a connu et que continuera à connaitre la France depuis le début de l'immigration massive définitive vers 1976.
    Faites le calcul pour savoir quand est-ce que les musulmans formeront la majorité démographique, donc la majorité politique ...
    Pour ceux qui douteraient des 13%, c'est bien en dessous des estimations d'un certain ministre que voila : https://www.youtube.com/watch?v=VWjL5...

     

    Des salauds : Fillon et Aubry !

    Vous pouvez stopper, revenir en arrière !

    A écouter et réécouter !


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  • Emmanuel Macron rejette une reconnaissance de l'État de Palestine

    Il n'y aura pas de reconnaissance de l'État de Palestine par la France, ni initiative française ou européenne pour sortir de l'impasse le conflit israélo-palestinien. Campant sur sa prudence, Emmanuel Macron l'a affirmé vendredi lors d'une conférence de presse commune avec Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité palestinienne, à l'issue de leur entretien à l'Élysée.

    «Décider unilatéralement de reconnaître la Palestine est-il efficace? s'est interrogé le chef de l'État en réponse à une question du Figaro. Je ne crois pas. Car ce serait une réaction» à la décision américaine «qui a provoqué des troubles dans la région», a développé Emmanuel Macron. «Je répliquerais une erreur d'un type pareil», a-t-il estimé, ajoutant qu'il n'allait «pas construire le choix de la France en réaction» à la politique américaine. Le président de la République a toutefois rejeté toute «timidité» sur ce dossier, alors qu'il s'investit beaucoup entre Kurdes et Arabes irakiens ou dans le Golfe. «L'esprit de méthode n'est pas la timidité», a-t-il insisté.

    La récente décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël a provoqué de vives réactions internationales qui ont débouché jeudi sur une assez large condamnation par l'Assemblée générale de l'ONU, même si les États-Unis ont estimé avoir limité la casse dans l'exercice.

    Rôle plus actif de l'Union européenne et de la France

     

    Après avoir rappelé «la confiance» qu'il avait en Emmanuel Macron et souligné qu'une telle reconnaissance, appelée de ses vœux par l'ancien ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius était «un investissement» pour la paix, Mahmoud Abbas a déclaré que «nous n'accepterons aucun plan de la part des États-Unis à cause de l'esprit partisan et à cause de la violation du droit international», liée à la décision américaine. «En cela, les États-Unis se sont disqualifiés eux-mêmes», a ajouté le leader palestinien, qui appelle à un rôle plus actif de l'Union européenne et de la France en particulier.

    Malgré cet appel du pied, et tout en reconnaissant que «les Américains se sont marginalisés» après la décision de Donald Trump, Emmanuel Macron ne veut pas prendre de risques en avançant des idées ou une initiative, dont la concrétisation serait plus qu'aléatoire. À Paris, on déclare officiellement attendre de connaître le contenu de l'initiative de paix américaine, censée accompagner la récente décision de Donald Trump. C'était précisément l'une des raisons du voyage que Mahmoud Abbas a effectué à Riyad, juste avant de venir à Paris.

    Interrogé sur de possibles négociations via l'Arabie sur ce futur plan de paix américain, le chef de l'Autorité palestinienne a botté en touche, se bornant à rappeler que le roi et le prince héritier Mohammed ben Salman, proche de Donald Trump et de son gendre Jared Kushner, très actif sur le volet israélo-palestinien, l'avaient assuré qu'il ne pourrait y avoir de paix sans un état palestinien avec Jérusalem-Est comme capitale, aux côtés d'Israël. Bref, officiellement, tout le monde en reste à attendre cette initiative américaine, avant de marquer clairement ses positions. Et peut-être de passer à l'action pour Emmanuel Macron.

    Le Figaro


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