• Drame à l’hôpital où un enfant naît malgré une interruption médicale de grossesse

    Une famille boulonnaise vit depuis lundi une détresse psychologique. Alors que la maman est enceinte de 8 mois, leur bébé est diagnostiqué gravement handicapé. La décision est prise de pratiquer une interruption médicale de grossesse. Mais lundi, elle a finalement accouché d’un enfant vivant.

     

    La famille Delage vit depuis lundi une situation de détresse alarmante. Alors qu’elle est enceinte de huit mois, la jeune femme, suivie au centre hospitalier de Boulogne est envoyée à Lille pour subir une IRM.

    Un premier choc psychologique

    Le résultat est vécu comme un drame par la famille : «  On nous a expliqué que notre enfant avait 80   % du cerveau qui ne fonctionnait pas. Les médecins ont dit que le bébé serait paralysé et qu’il ne pourrait ni boire ni manger.  » Après concertation entre les équipes médicales et avec l’accord de la famille, une interruption médicale de grossesse (IMG) est programmée dix jours plus tard. L’attente est difficile pour le couple qui décide de prévenir la famille et d’organiser les funérailles de l’enfant. Le jour de l’opération, lundi, une piqûre à double dose est injectée via le cordon ombilical. Le corps médical constate l’arrêt du cœur et informe la famille du décès de l’enfant.

    L’enfant mort est finalement vivant

    Le soir, lors de l’accouchement, surprise, l’enfant se met à crier. «  Le bébé est vivant. Il pleure, mange et bouge. On ne comprend pas ce qui a pu se passer et on n’a pas d’explications de la part de l’hôpital  », souligne Jérôme Delage, le père. Du côté des médecins, on évoque un cas et des circonstances exceptionnelles. «  Nous avons vérifié le déroulé de l’opération et il n’y a pas eu d’erreurs médicales commises par les praticiens qui ont pratiqué l’opération. Nous sommes face à un échec de l’IMG. C’est rare mais ça arrive  », insiste le Dr Pierre Ducq, président de la commission médicale de l’hôpital Duchenne. Depuis, le dialogue est rompu entre la famille et l’hôpital, la tension est à son paroxysme et une altercation a eu lieu. «  Nous devons être dans l’accompagnement de la famille car ils sont dans une situation de détresse psychologique et nous devons les soutenir mais la tension nous en empêche pour l’instant  », précise Yves Marlier, directeur de l’hôpital de Boulogne.

    Pour le couple, il reste de nombreuses questions et il faut se préparer à une vie avec cet enfant. La famille avait rendez-vous jeudi au CHRU de Lille pour passer des examens et évaluer la situation du nourrisson. Une enquête interne a été ouverte et l’agence régionale de santé a été alertée.

    La Voix du Nord

     

    Dernières nouvelles

    Les parents du nourrisson se sont rendus à Lille au CHRU, jeudi, afin de lui faire passer une batterie d’examens. Le résultat ne semble pas très réjouissant selon la famille Delage.

    «  Les médecins ont confirmé que notre enfant souffrait d’une malformation cérébrale  », souligne Jérôme Delage, le père. Mais ce qui les préoccupe est de savoir les conséquences de l’échec de l’IMG et notamment de l’injection du produit via le cordon ombilical.

     On nous a indiqué que des tâches étaient apparues sur la partie du cerveau qui n’était pas touchée. Selon les médecins, l’arrêt cardiaque a privé le bébé d’oxygène et cela rend notre enfant inopérable alors qu’avant, on aurait pu tenter quelque chose », ajoute Jérôme Delage.

    Pronostic vital réservé

    Du côté du corps médical, à Lille comme à Boulogne, on ne souhaite pas s’exprimer. Une enquête a été ouverte par l’Agence régionale de santé.

    Selon le père de famille, il faut désormais vivre au jour le jour. «  Les médecins ne peuvent pas s’engager sur le pronostic vital mais ils nous ont informés que tout pouvait s’arrêter du jour au lendemain. » Le nourrisson et ses parents sont rentrés sur Boulogne vendredi afin de se reposer après toutes les émotions vécues ces dernières semaines.

    La Voix du Nord


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  • Un mort et plusieurs blessés dans une attaque au couteau à Hambourg

    Hambourg

    Drame dans un supermarché allemand: une attaque au couteau a fait un mort et quatre blessés. Le suspect, originaire des Emirats, a été arrêté par des passants.

    Un homme originaire des Emirats arabes unis, expulsable après que sa demande d'asile a été refusée, a tué vendredi au couteau une personne et en a blessé six autres à Hambourg (Allemagne) en criant «Allah Akbar», un acte qualifié d'«attentat» par le maire.

    Si la piste islamiste se confirmait, il s'agirait du premier attentat de ce type en Allemagne depuis décembre, lorsque le Tunisien Anis Amri avait foncé sur la foule d'un marché de Noël à Berlin, faisant 12 morts et 48 blessés.

     

    L'attaque de Hambourg rappellerait aussi par son mode opératoire celle du 3 juin à Londres : trois assaillants avaient renversé des piétons sur le London Bridge avant d'attaquer au couteau passants et fêtards dans le quartier animé de Borough Market, tuant huit personnes.

    Alors que la police allemande reste encore prudente sur les motivations de l'agression au couteau survenue dans une rue très commerçante de la ville portuaire du nord de l'Allemagne, le maire l'a qualifiée dans la soirée d'«attentat».

    «Attentat odieux»

    «Je suis scandalisé par l'attentat odieux qui a causé la mort d'au moins un habitant de Hambourg», a indiqué Olaf Scholz dans un communiqué. «Ces criminels veulent empoisonner notre société libre par la peur, mais ils vont échouer», a dit le maire.

    Il a aussi révélé qu'il avait été commis par un demandeur d'asile, un homme de 26 ans originaire des Emirats arabes unis, de surcroît en instance d'expulsion mais qui n'a pu être reconduit à la frontière faute de documents d'identité en règle.

    «Ce qui me rend encore plus en colère est que l'auteur est manifestement quelqu'un qui cherchait refuge en Allemagne et qui a détourné sa haine contre nous», a souligné le maire social-démocrate.

    Ce point risque de relancer la polémique en Allemagne sur l'accueil de plus d'un million de migrants depuis 2015, suite à l'ouverture des frontières par la chancelière conservatrice Angela Merkel, et ce à moins de deux mois des élections législatives.

    Le Tunisien responsable de l'attentat de Berlin en décembre était dans une situation juridique identique à celle l'auteur de l'attaque au couteau de Hambourg. Selon le quotidien Tagesspiegel, l'agresseur était connu de la police pour son fanatisme religieux.

    Mais selon le site internet du magazine Der Spiegel, l'homme, présenté comme Ahmad A., était aussi connu pour avoir des problèmes psychologiques et consommer de la drogue. Il vivait dans un centre de migrants de Hambourg.

    L'assaillant a fait irruption vendredi après-midi dans un supermarché d'un quartier populaire de la ville et tué un homme de 50 ans au couteau. Il a ensuite pris la fuite et blessé cinq autres personnes en frappant au hasard dans la rue sur son passage, avant d'être maîtrisé par des passants.

    Bilan : six personnes blessées, en partie «grièvement», une femme et cinq hommes âgés de 19 à 64 ans, dont l'un l'a été en tentant de maîtriser l'agresseur, selon la police.

    «Mauvais film»

    Car des passants se sont engagés dans une course poursuite, pour finalement le rattraper. Plusieurs témoins de la scène ont affirmé aux médias allemands que l'agresseur avait crié «Allah Akbar!» («Dieu est le plus grand») sur son passage.

    «On s'est levé d'un coup et on a vu passer un homme avec un énorme couteau à la main, type couteau à viande», a raconté à l'AFP Ralph Woyna, un habitant du quartier. «Des clients ont alors pris tout ce qu'il y avait de chaises dans le café et l'ont pourchassé (...) j'ai entendu au loin un cri Allah Akbar, du coup j'ai tout de suite compris que c'était un attentat», a-t-il ajouté.

    «J'ai cru que j'étais dans un mauvais film, j'ai pensé qu'il allait me poignarder», a dit une cliente du supermarché à la chaîne n-tv. Il tenait «un couteau gigantesque», a-t-elle raconté, en montrant une longueur de 50 centimètres environ.

    Le quotidien allemand Bild a publié sur son site internet une photo de l'assaillant assis sur le siège arrière d'une voiture de police, avec un sac blanc et couvert de sang posé sur sa tête.

    24 Heures.ch


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  • Ajoutée le 10 mars 2017

    Extrait de TVLibertés : https://www.youtube.com/watch?v=vOu-t...
    Les medias nous cachent-ils des informations sur Emmanuel Macron… C’est en tout cas l’impression que l’on a si l’on compare avec le déferlement de boules puantes sur les candidats Fillon et Le Pen. Pourtant, Emmanuel Macron n’est pas exempt de tout soupçon… bien au contraire. C’est en 2008, 4 ans après sa sortie de l’ENA, qu’Emmanuel Macron rejoint la banque Rothschild. En pleine crise financière, celui qui n’est alors âgé que d’une petite trentaine d’années fait office de jeune premier, il est surnommé “le Mozart de la Finance”. En deux ans à peine, Macron devient associé-gérant de la banque familiale… une ascension fulgurante. En 2012, le jeune carnassier rencontre le patron de Nestlé, Peter Brabeck, lequel le charge de gérer des laits infantiles du laboratoire Pfizer. La transaction s’élève à 9 milliards d’euros. Avec ce coup, Macron touche le gros lot…

    Pendant ce temps, Macron fait aussi dans le bénévolat… Il conseille dans ce cadre la Société des Rédacteurs du Monde quand le trio Bergé, Pigasse, Niel s’apprête à racheter le quotidien. Macron sera ensuite suspecté d’avoir fait du favoritisme pour le groupe espagnol Prisa, qu’il conseillera un an plus tard dans un autre affaire. Pendant ce temps, Macron aurait également été vu avec Alain Minc, président du conseil de surveillance du Monde à cette époque.

    En août 2014, le jeune premier fait son entrée à Bercy et déclare donc son patrimoine. Surprise, il s’élève à 156 000 euros. Un appartement, deux assurances-vies, une voiture et surtout une dette de près d’un million d’euros… Le total restant est étonnamment faible et contraste avec les 3,3 millions que Macron aurait perçu entre 2009 et 2014… Son porte-parole Sylvain Fort balaie les interrogations en expliquant que Macron aime dépenser de l’argent… Un peu court comme argumentation. C’est d’ailleurs pour cette raison que Paul Mumbach, candidats des Maires en colère, Jean-Philippe Allenbach, président du mouvement Franche-Comté et Serge Grass, président de l’Union civique des Contribuables Citoyens ont alerté la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Politique… sans grand succès.

    En poste comme ministre de l’Economie, Macron a également mené la grande vie. En huit mois, il aurait dépensé 120 000 euros en frais de bouche pour rencontrer des personnalités influentes… sans doute dans le but de poser les premiers jalons de sa candidature. Pendant son exercice, les choix et décisions de Macron seraient également à scruter de près. Alors que son prédécesseur Arnaud Montebourg a toujours tenu bon face à General Electrics, Macron se dit dès son activité de secrétaire de l’Elysée, favorable aux rachats d’Alstom… Quand il pose ses valises à Bercy, la vente est consommée. Les conséquences sont simples : plus de 2 milliers de personnes restent sur le carreau, sans boulot.

    Pour finir, toujours bercé dans l’argent, Emmanuel Macron fait apparaître des comptes bien modestes pour son mouvement. N’étant pas un parti, En Marche ne bénéficiera pas des dotations de l’Etat, pourtant, son budget de campagne est fixé à 17,5 millions. L’équipe de campagne estime que les dons dépassent aujourd’hui les 6,5 millions, et le candidat lui-même devrait faire un emprunt de 8 millions sur ses deniers personnels. Une organisation qui nous ferait presque pleurer. D’ailleurs, Macron se plaît à répéter à qui veut l’entendre qu’aucune entreprise ne finance son mouvement, conformément à la loi… pourtant, de récentes informations laisseraient entendre que les choses sont moins claires… En effet, le Mozart de la Finance n’a pas oublié ses pères de chez Rothschild et l’entreprise “familiale” n’aurait pas hésité à donner un coup de main au fils prodige. La direction de la banque aurait envoyé un message à une sélection dorée de banquiers d’affaires parisiens pour organiser un cocktail avec Emmanuel Macron… Le message était d’ailleurs assorti d’une demande de confidentialité… Tu m’étonnes… L’afterwork sur les Champs Elysées des élites financières a quand même des sacrées allures de levée de fonds… Mais bien sûr, rien n’est avéré… Et les medias sont trop occupés à creuser d’autres affaires… moins importantes certes… mais sans doute plus en accord avec leur direction

    TV Libertés


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  • Pour tous les cons qui ont voté Macron !


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  • C'est le pays qui m'a donné le jour !


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  • Moselle : un enfant de 4 ans meurt après avoir été percuté par le véhicule électrique d'un postier

    Un enfant de 4 ans a été percuté par la voiture électrique d'un facteur à Merten, près de Metz en Moselle, rapporte, samedi 21 juillet, France Bleu Lorraine Nord. L'accident a eu lieu vendredi matin. Le garçon est mort sur place malgré l'intervention des secours sous les yeux de son grand frère de 7 ans extrêmement choqué et pris en charge par les secours.

    Le chauffeur faisait une manœuvre

    Le drame a eu lieu dans l'impasse où habitait la victime. Le facteur, qui avait terminé sa tournée, a heurté l'enfant avec l'arrière de sa voiture alors qu'il était en train de faire demi-tour. Le véhicule, électrique, faisait beaucoup moins de bruit qu'une voiture traditionnelle.

    Le facteur, peu connu des habitants, était arrivé depuis peu dans la commune en remplacement de l'ancienne factrice mutée. Les analyses ont confirmé qu'il n'avait consommé ni alcool, ni stupéfiant, indique encore France Bleu Lorraine Nord.

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    Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire à l'occasion de la conduite d'un véhicule.

    Franceinfo

    Et les parents étaient où ? Bien triste


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  • J'espère que cela n'est pas grave pour on mari

    Les gendarmes de la Mayenne ont déployé un dispositif de recherches jeudi, après qu'un routier a signalé la présence d'un lion en rase campagne, rapporte France Bleu Mayenne. Selon plusieurs témoignages rapportés par nos confrères samedi 22 juillet, il s'agirait d'une lionne ou d'un jeune adulte. L'animal n’aurait pas de crinière mais serait trop grand pour être un lionceau.

     

    Des biches seraient brusquement sorties du bois

    "Un agriculteur du secteur de Vaiges nous a dit avoir vu une lionne dans un champ, explique à France Bleu Mayenne le colonel David Bièvre qui commande le groupement de gendarmerie départemental de Mayenne. Dans le même secteur, une dame nous a appelés, effrayée : elle a entendu un bruit qu’elle décrit comme un rugissement. Son chien se serait mis à hurler et des biches seraient brusquement sorties du bois en face de chez elle."

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    Aucun cirque dans les environs

    "Il n'est pas impossible que cet animal soit un NAC, les Nouveaux Animaux de Compagnie. Il a pu être importé illégalement très petit... Si tel est le cas, il faut absolument que le propriétaire nous contacte de toute urgence pour qu'on puisse mieux cibler l'animal... et éviter qu'un drame se produise", a-t-il ajouté. Il n y a aucun cirque stationné en ce moment à Mayenne et les refuges animaliers n'ont pas signalé de disparitions d'animal. Jeudi matin vers 9h30, un chauffeur routier avait contacté la brigade de gendarmerie de Vaiges, affirmant avoir vu un lion d'un mètre de haut en passant à Saint-Jean-sur-Erve, à l'est de Laval. Les gendarmes ont pris l'affaire au sérieux, et une quinzaine de militaires, assistés d'une équipe cynophile, ont été mobilisés pour une chasse au lion.

    Franceinfo


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  • Quand le mari de Brigitte Macron a découvert sa liaison ...

    Quand le mari de Brigitte Macron a découvert sa liaison ...

    Voir sa femme le quitter pour un ado n'effleurait pas André-Louis Auzière. Jusqu'au jour où Brigitte a croisé Emmanuel Macron...

     

    « Quoi que vous fassiez, je vous épouserai ! » En 1994, c'est un Emmanuel Macron de 17 ans qui faisait cette promesse à celle qui allait devenir sa femme treize ans plus tard. Depuis de longs mois déjà, il vit un amour secret avec sa professeur de théâtre. Et ses parents ont beau avoir décidé de l'envoyer faire sa terminale au prestigieux lycée parisien Henri IV, loin d'Amiens et de Brigitte Auzière, l'adolescent le jure : il ne l'oubliera pas, et elle lui dira un jour « oui » devant témoins. Sauf que si elle a trois enfants, et vingt-quatre ans de plus que lui, l'enseignante est surtout très très mariée ! Et celui qui partage alors sa vie, qu'elle a épousé vingt ans plus tôt, ne se doute pas de ce qui se trame, comme viennent de le raconter nos confrères du Daily Mail. Le banquier ne se méfie en effet pas du lycéen, habitué qu'il est à voir les élèves de sa femme dîner chez  lui le vendredi soir, porteurs de fleurs ou d'une bonne bouteille

    De quoi rendre la découverte de leur liaison extrêmement violente. « Il a quitté leur foyer » explique au quotidien anglais Benoît Delespierre, journaliste au Courrier Picard local. Un homme profondément blessé, comme le confirme Sylvie Bommel. Selon cette journaliste qui a travaillé sur l'histoire des Macron, il sera tellement affecté par la rupture qu'il n'assistera même pas à l'enterrement de sa propre mère, de peur d'y croiser son ex-femme ! « Il ne voulait plus se montrer après ce qui lui était arrivé » analyse-t-elle. « Cela a dû être un choc terrible d'être quitté pour quelqu'un d'aussi jeune. »

     

    "Cela a été un immense scandale"

    Et si les enfants de Brigitte - Sébastien, Laurence et Tiphaine - sont aujourd'hui très proches du candidat, cette histoire atypique ne réjouira pas non plus le reste de son clan. Il faut dire que les Trogneux sont une célèbre famille de pâtissiers, connue et respectée du tout-Amiens ! « Cela a été un immense scandale » reprend Benoît Delespierre. « En toute franchise, ils n'aiment pas vraiment en parler. Tout cela les a énormément embarrassés. Son père Jean était furieux. » Tout comme l'un de ses frères, en surprenant le couple clandestin lors d'un rendez-vous secret au bord d'une piscine... Des blessures dont la potentielle Première dame mesure aujourd'hui les conséquences. « L'amour a tout emporté sur son passage et m'a conduite au divorce » expliquait-elle à Paris Match en 2016. « Impossible de lui résister. » Comme son ex-mari l'a très douloureusement éprouvé... 

    Closer

    Faut vraiment être tordu et sans morale pour faire divorcer une femme mariée avec trois enfants.

    Mais on a vu que CMOILECHEF est capable de tout !


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  • Une mouvance anarcho-autonome fait parler d'elle en Rhône-Alpes

    De nombreux actes de sabotage, à chaque fois revendiqués par une mouvance anarcho-autonome, ont été perpétrés ces derniers mois en Rhône-Alpes contre des équipements publics ou privés, conduisant les autorités à ouvrir plusieurs enquêtes.

    Dernier en date : l'incendie d'une antenne relais de TDF à Saint-Laurent-sous-Coiron, en Ardèche, dans la nuit de lundi à mardi.

    Résultat, 165.000 foyers ont été privés de TNT et des antennes de Radio France et NRJ, sans compter les 40.000 usagers de SFR privés de réseau.

    Dans son communiqué, intitulé "Les communications ennemies partent en fumée", un collectif baptisé "Individualités sauvages" a expliqué s'être introduit sur le site après avoir "coupé les clôtures, forcé les portes avec pince et pied de biche" et avoir "foutu le feu avec de l'essence au matériel électronique de plusieurs locaux et antennes".

    "Il n'est pas si simple d'entrer sur nos sites, assure pourtant Amélie Zenone, directrice régionale de TDF. Ce sont des sites stratégiques donc sécurisés".

    Le site visé lundi soir est un des principaux de la région. Les dégâts sont importants et jeudi, certains foyers restaient privés de radio ou de télévision. Un retour à la normale était prévu au plus tard en milieu de semaine prochaine.

    Le parquet de Privas a ouvert une enquête et saisi la section de recherches de Grenoble. Les incendiaires "étaient très bien organisés et savaient très bien ce qu'ils faisaient", assure une source judiciaire, "ils n'ont pas visé ce site au hasard. Mais pour l'instant, on a peu de pistes".

    - "Pensée intellectuelle commune" -

    Ce n'est pas le premier acte du genre dans le secteur. Dans la nuit du 14 au 15 juin, un autre pylône de TDF, à Piegros-la-Clastre, dans la Drôme voisine, avait été visé par un incendie.

    Dans la nuit du 8 au 9 juin, c'est un local du distributeur d'électricité Enedis qui partait en fumée, à Crest, encore dans la Drôme. À chaque fois, un communiqué diffusé sur le site internet Indymedia, proche de la gauche radicale, a revendiqué l'action.

    Le parquet de Valence a lui aussi ouvert une enquête, confiée également aux gendarmes de Grenoble. La préfecture de l'Isère a elle-même été touchée par plusieurs actes de sabotage, de moindre envergure, mais toujours revendiqués.

    Le 21 mars, un local du parti Les Républicains était saccagé en centre-ville, pour lutter contre "les sentinelles de l'ordre marchand". Le 23 mars, sept véhicules étaient incendiés, dont trois du centre communal d'action social (CCAS) de Grenoble, accusé de "cogérer la misère".

    Cinq jours plus tard, c'est la Métropole de Grenoble qui était visée avec sept véhicules brûlés. Cette fois-ci, le communiqué revendiquait cette action au nom de la lutte contre les "sites de stockage et d'exploitation de la ressource humaine".

    Le 11 avril, 185 composteurs du réseau de tramway ont été dégradés, avant que 11 véhicules d'Enedis ne soient incendiés, le 30 mai, au nom de la lutte contre "un des mille avatars de l'infrastructure capitaliste".

    La Police judiciaire et la Sûreté départementale ont été chargées d'enquêter. En mai, une source proche du dossier faisait part de son "inquiétude" face à "ce type d'actions ciblées", une nouveauté à Grenoble.

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    Pour l'instant, un rapprochement des dossiers n'est pas à l'ordre du jour. "On a peut-être une pensée intellectuelle commune" chez les auteurs de tous ces délits, concède à l'AFP une source proche de l'enquête. "Ils sont peut-être issus d'une mouvance commune mais chacun enquête de son côté pour le moment", complète le parquet de Valence.

    AFP


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  • Budget des armées: la faute politique de Macron?

    Le recadrage public du chef d’état-major des armées le 14 juillet risque de laisser des traces durables chez les militaires. D’autant que la question budgétaire est loin d’être réglée par la hausse du budget défense prévue en 2018.

    Les premiers pas de chef des armées étaient pourtant réussis. En remontant les Champs-Élysées dans un véhicule militaire le jour de son entrée en fonction, en rendant immédiatement visite aux soldats français de l’opération Barkhane, en visitant de longues heures les stands de l’armée et des industriels de défense du salon du Bourget, en embarquant dans un sous-marin lanceur d’engin, force photos martiales à la clé, en martelant qu’il tiendrait l’objectif d’un budget de 50 milliards d’euros en 2025 (32,7 milliards aujourd’hui), Emmanuel Macron avait signifié aux armées qu’il entendait bien faire de la défense une priorité stratégique et financière. "Je juge que cet effort est indispensable, mieux, qu’il est urgent. Nous ne pouvons pas attendre", assurait ainsi le candidat Macron dans son discours défense du 18 mars.

    Et puis, ce 13 juillet au soir dans les jardins de l’hôtel de Brienne, le bel édifice s’effondre. Dans un discours qui a provoqué un profond sentiment de malaise dans l’assistance, Emmanuel Macron ne se contente pas de confirmer la coupe de 850 millions d’euros dans le budget militaire 2017 décidée par Bercy. Il en profite aussi pour dézinguer le chef d’état-major des armées Pierre de Villiers, dont le rugueux discours auprès de la commission de défense de l’Assemblée nationale avait fuité la veille dans la Tribune et Challenges. "Je considère qu'il n'est pas digne d’étaler certains débats sur la place publique", assène-t-il. J'ai pris des engagements. Je suis votre chef. Les engagements que je prends devant nos concitoyens et devant les armées, je sais les tenir. Et je n’ai à cet égard besoin de nulle pression et de nul commentaire."

     

    La majorité LRM se fendille

    Résultat: un chef d’état-major dont on ne sait pas s’il poursuivra sa mission alors que la France est en guerre sur plusieurs fronts, des militaires durablement braqués, et des premières failles dans la majorité LRM, avec les critiques publiques du président de la commission de défense de l’Assemblée Jean-Jacques Bridey et des députés Gwendal Rouillard et Jean-Charles Larsonneur. En clair, la sortie présidentielle ressemble bien à une faute politique, après des premiers pas régaliens réussis, aussi bien sur la défense que sur la diplomatie.

    Pourquoi? Parce qu'à l’évidence, ce soufflet public à destination du CEMA n’était pas nécessaire. Pierre de Villiers n’a pas enfreint le devoir de réserve: il était auditionné à huis clos devant la commission de la défense de l’Assemblée nationale, et n’a fait que répéter, certes de façon un peu rugueuse, le discours qu’il tient depuis des années. La presse a fait son travail en dévoilant une partie du contenu de cette audition, sachant que le compte-rendu final des discussions sera, comme toujours, abondamment caviardé. On ne parle pas là de données sensibles liées au secret défense, mais bien d’un débat sur le budget des armées. On voit mal pourquoi il serait "indigne" de le porter sur la place publique. La colère présidentielle sur les industriels de défense, qui s'est fait jour dans une interview au JDD, laisse aussi circonspect: ils ont le droit de donner leur avis, tout comme le gouvernement a le droit de leur dire non.

     

    50 milliards, coût du modèle d'armée 

    Au-delà de faire porter 20% de l’effort d’économies du gouvernement sur un ministère des armées pourtant défini comme prioritaire, la manière interroge également. Pour beaucoup de militaires, la sortie présidentielle a sonné comme une sorte d’engueulade paternaliste adressée à un enfant jugé trop turbulent. Or le budget de la défense n’est pas un cadeau fait aux militaires: c’est le prix à payer pour le modèle d’armée défini par le dernier Livre Blanc sur la défense. De même, l’objectif de 2% du PIB en 2025, ou 50 milliards d’euros pour les armées, n’est pas un mantra sorti de nulle part. C’est l’estimation, qui vaut ce qu’elle vaut, du coût d’une armée qui conserve ce modèle complet: une force de dissuasion crédible, une capacité à entrer en premier sur un théâtre d’opérations, des équipements au niveau, des effectifs bien entraînés en nombre suffisant.

    Réduire le différend entre le chef des armées et le chef d’état-major à une simple querelle de chiffres, voire d’egos, revient à occulter l’essentiel. L’armée française arrive aujourd’hui au bout de ses forces, entre des engagements extérieurs qui dépassent allègrement le "contrat opérationnel" fixé par le Livre blanc, une opération Sentinelle qui épuise les forces, et le fait que les derniers arbitrages de François Hollande en conseil de défense, dont le coût est estimé à 2,2 milliards d’euros en 2018 et 2019, ne sont pas financés. Les soldats français qui rôtissent par 50 degrés dans des blindés VAB hors d’âge au Mali, et qui cumulent plus de 250 jours d’engagement par an loin de leur garnison et de leurs familles, doivent rire jaune quand ils entendent le terme "effort" seriné sur tous les tons par l’exécutif. C’est dans ce contexte qu’il faut analyser la colère de Pierre de Villiers face aux députés.

     

    Bricolage de Bercy

    Sur le fond de l’affaire, faire payer aux armées le surcoût des opérations extérieures (1,3 milliard d’euros, dont 450 millions seulement budgétés en loi de finances) n’est pas seulement contraire à la loi de programmation militaire 2014-2019, dont l’article 4 prévoit explicitement un financement interministériel. Le choix est aussi contestable au plan politique: c’est bien l’exécutif qui envoie les forces en opérations. Il doit donc en accepter le prix: en cas de conflit majeur nécessitant une projection massive de troupes (Europe de l’Est, Moyen-Orient…), pour un coût de 2 ou 3 milliards d’euros, imagine-t-on une ponction équivalente sur le budget équipements de l’armée la même année? Le fait même de poser la question donne la réponse.

    Intégrer les surcoûts OPEX dans le budget des armées, comme le préconise la Cour des comptes, est évidemment une piste à étudier. Mais il faudrait organiser cette réforme majeure de façon sérieuse, en débloquant le budget nécessaire dès la loi de finances initiales. L’inverse de la démarche adoptée par Bercy, un bricolage en milieu d’année qui contredit la LPM actuelle et aboutit à des coupes sur le programme 146 du Budget (équipements). Cette improvisation laisse penser que ce choix n’est pas dicté par une stratégie réfléchie, mais bien par un de ces coups de rabot qu’affectionnent les grands argentiers de Bercy.

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    Une hausse du budget 2018 à relativiser

    L’augmentation du budget de défense à 34,2 milliards d’euros annoncée par Emmanuel Macron pour 2018 est certes un signal positif. Mais ce budget devra probablement honorer les 850 millions d’euros de commandes reportées cette année… ce qui pourrait déjà diviser par deux l’effort de 1,5 milliard d’euros revendiqué par l’Élysée. Il faudra aussi s’assurer que les crédits gelés sur le budget 2017 seront bien libérés à temps pour être utilisés, sauf à continuer de repousser inexorablement la «bosse» du financement de la défense. Sachant que financièrement, le plus dur est à venir: pour tenir l’objectif présidentiel, le budget défense devra passer de 34,2 milliards d’euros en 2018 à 50 milliards en 2025. Soit une hausse annuelle moyenne de 2,4 milliards d’euros... sans gels, surgels et coupes claires pour les menacer.

    Challenges


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  • Privés d'emplois familiaux, les députés s'agacent du statut promis à Brigitte Macron

    Des députés de droite comme de gauche dénoncent une incohérence de l'exécutif, alors que la loi s'apprête à interdire le recours aux emplois familiaux à l'Assemblée Nationale.

    «Faites ce que je dis mais pas ce que je fais!», enrage sur Twitter ce mardi l'ancien ministre et député LR Thierry Mariani. En cause, le statut et le budget dont devrait bientôt disposer la première dame Brigitte Macron, comme l'avait annoncé son époux de président. Une disposition inédite, et qui vise à plus de transparence, mais qui intervient «au même moment où l'on fait interdire les “emplois familiaux” au Parlement», fustige le fondateur de la Droite Populaire. Et l'ex-représentant des Français de l'Étranger n'est visiblement pas le seul à dénoncer ce qui apparaît comme une contradiction, si ce n'est une injustice.

    À gauche également, la perspective de voir officialisé le rôle de Brigitte Macron irrite. Invité ce matin de l'émission Territoires d'infos sur Sud Radio - Public Sénat, le député socialiste Luc Carvounas relève:«Dans l'histoire des couples présidentiels, les premières dames ont toujours eu des activités bénévoles». «Je ne vois pas pourquoi la femme du chef de l'État aurait un budget sur de l'argent public. On est en train de nous dire qu'il faut recruter des centaines d'administrateurs à l'Assemblée pour contrôler tous nos tickets de caisse, et on va allouer un budget à la femme du chef de l'État, je ne suis pas d'accord», s'agace encore le maire d'Alfortville (94). Un sentiment d'incohérence également dénoncé du côté de la gauche radicale, comme l'illustre le député Eric Coquerel. «Brigitte Macron serait donc une collaboratrice. Pourtant on va interdire aux députés d'employer leur famille non?», s'interroge-t-il sur Twitter.

     

    Déjà près de 200 courriers quotidiens

    L'officialisation du statut de Brigitte Macron n'est pourtant pas une surprise. Emmanuel Macron avait promis de clarifier les fonctions de son épouse, afin de rompre avec le flou qui prévalait jusqu'ici pour le statut des conjointes des chefs d'État français. Elle dispose actuellement d'une équipe de deux à trois collaborateurs et de deux secrétaires. Deux agents de sécurité assurent par ailleurs sa protection. Très sollicitée par courrier par les Français, son cabinet indiquait il y a peu au Figaro qu'elle reçoit près de 200 lettres quotidiennes. Si les fonctions précises qui seront attribuées à Brigitte Macron ne seront connues qu'après l'été, on sait déjà que la première dame souhaite agir en faveur de la scolarisation des enfants hospitalisés et pour soulager les difficultés rencontrées par les personnes handicapées.

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    En plus d'une équipe, la première dame aura donc un budget pour le fonctionnement de ses activités et la rémunération de ses collaborateurs.....

    Le Figaro

    Je me demande vraiment ce que les françaises ou/et les français peuvent écrire à Brizitte !!!

    Les personnes handicapées, ça doit dépendre du ministère de la santé ! 


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  • Allemagne : au moins 547 enfants victimes de maltraitances dans un chœur catholique

    Soixante-sept de ces enfants ont été victimes d'agressions sexuelles, dont des viols, dévoile un rapport d'enquête publié mardi 18 juillet.

    L'affaire a commencé à éclater en 2010. Au moins 547 enfants du choeur catholique de Ratisbonne ont subi des maltraitances physiques, y compris des viols, entre 1945 et les début des années 1990, révèle un rapport d'enquête mardi 18 juillet.

    67 de ces enfants du choeur des "Regensburger Domspatzen" ("les Moineaux de la cathédrale de Ratisbonne") ont été victimes d'agressions sexuelles, dont des viols, a dévoilé Ulrich Weber, un avocat chargé par l'Eglise de faire la lumière sur cette affaire.

    Ces chiffres sont largement supérieurs à ceux connus jusqu'ici. En janvier 2016, un rapport intermédiaire faisait état de 231 victimes. Un an auparavant, les autorités catholiques locales parlaient de seulement 72 enfants victimes d'abus.

     

    "Une prison, un enfer et un camp de concentration"

    Les faits couvrent des délits et crimes allant de la privation de nourriture au viol, en passant par des coups ou des agressions sexuelles. Pour les victimes d'abus, leur passage dans le choeur catholique de Ratisbonne - un choeur millénaire et mondialement connu - a été "une prison, un enfer et un camp de concentration". "Le pire moment de leur vie, marqué par la peur, la violence et la détresse", a déclaré Ulrich Weber.

    La majorité de ces cas sont cependant prescrits. Les 49 auteurs présumés des violences identifiés dans le rapport ne devraient donc pas être poursuivis ! Chacune des 547 victimes devrait cependant recevoir jusqu'à 20 000 euros d'indemnisation.

     

    Nouveau scandale pour l'Eglise catholique

    L'affaire porte entre autres sur des maltraitances ayant eu lieu entre 1964 et 1994. A l'époque, Monseigneur Georg Ratzinger, frère de l'ancien pape Benoit XVI, dirigeait le choeur de Ratisbonne. Ce dernier, aujourd'hui âgé de 93 ans, a assuré n'avoir pas eu connaissance d'abus sexuels au sein de cette chorale fondée au Moyen-Âge, en 975.

    Pour l'avocat Ulrich Weber, Monseigneur Ratzinger savait et aurait au contraire "détourné les yeux", dans un choeur où la "culture du silence" régnait.

    Un ancien membre de la chorale, le chef d'orchestre et compositeur allemand Franz Wittenbrink, a témoigné en 2010 de la violence dont était capable Georg Ratzinger, auprès du magazine allemand Der Spiegel. Il y évoquait un "système de punitions sadiques relié au plaisir sexuel".

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    Ce scandale est l'un des nombreux qui ont ébranlé l'Eglise catholique ces dernières années. Benoît XVI ainsi que son successeur François ont demandé pardon pour les affaires de pédophilie ayant secoué le clergé. En Allemagne, une école des Jésuites de Berlin a également été au coeur d'un scandale de pédophilie. Elle avait reconnu des abus sexuels systématiques commis sur des élèves par deux prêtres dans les années 1970 et 1980.

    Franceinfo

    La honte !


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    Au volant à 14 ans, l'ado sème la police à 130 km/h

    L'adolescent a percuté une voiture de policiers municipaux près de Libourne (Gironde) avant de prendre la fuite.

    Il a cumulé les infractions au Code de la route sans avoir l'âge de posséder le permis de conduire. Un adolescent de 14 ans s'est distingué la semaine dernière, près de Libourne (Gironde), par une conduite particulièrement dangereuse, rapporte «Sud Ouest» ce mardi. 

    Le 11 juillet, au volant d'une Clio, il commence par percuter une voiture de police municipale sur la commune de Vayres. Refusant de se faire contrôler, il prend la fuite et file à 130 km/h. Les policiers renoncent à le poursuivre. 

    Ce chauffard précoce a finalement été interpellé à une dizaine de kilomètres plus au sud, à Nérigean. Gardé à vue, il devra répondre en justice de conduite sans assurance, sans permis, délit de fuite après accident et mise en danger d’autrui.

    Le Parisien


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    Après l'armée, c'est au tour des industriels de l'armement de signifier leur désaccord avec le gouvernement, alors que celui-ci demande un effort financier de 850 millions d'euros, portant sur le matériel en opération extérieure des forces françaises.

    Alors que les tensions sont toujours vives entre Emmanuel Macron et Pierre de Villiers, le chef d'état-major des armées, une nouvelle force compte s'immiscer dans le bras de fer entre l'Élysée et l'Armée. Les industriels de la défense, ont fait part de leur mécontentement lors du discours du président de la République aux armées, la veille du défilé militaire du 14-juillet, alors que le gouvernement demande aux militaires un effort financier de 850 millions d'euros pour leurs programmes d'équipements en opération extérieure.

    Réunis à l'hôtel de Brienne, Macron a recadré le général Pierre de Villiers, rappelant les liens hiérarchiques qui les unissent: "J’ai pris des engagements. Je suis votre chef. Les engagements que je prends devant nos concitoyens et devant les armées, je sais les tenir. Et je n’ai à cet égard besoin de nulle pression et de nul commentaire", martelait le chef de l'état.

    Le matériel militaire première cible des coupes

     

    Un discours entendu par les industriels de l'armement, comme nous l'apprend L'Opinion. Certains ont préféré couper court à la sauterie, s'abstenant d'applaudir le discours du président, et préférant quitter immédiatement l'hôtel de Brienne, sans participer à la garden-party. Car l'effort financier demandé par l'Élysée portera sur le matériel militaire, ne pouvant rogner sur les soldes ni mettre fin d'un coup sec aux missions en cours (Barkhane au Sahel, Chammal en Irak et en Syrie, ou encore Sentinelle sur le territoire national), obligeant l'armée à assumer seule le surcoût des opérations extérieures.

     

    "Il a été demandé à tous les ministères de faire des efforts y compris au ministère des Armées (...) Il y a la possibilité de décaler quelques commandes sur du gros matériel et c'est pour ça que nous avons identifié 850 millions d'euros", assurait Christophe Castaner jeudi sur RMC-BFMTV.

     

    Une somme colossale pour l'armée, alors que le maintien en condition opérationnelle d'un char Leclerc coûte 20.000 euros par semaine, et qu'un seul hélicoptère d'attaque "Tigre" sur quatre est "disponible". Une situation tendue à laquelle l'Élysée tentera de trouver une solution vendredi, lorsque Emmanuel Macron recevra le général de Villiers.

    BFM.TV


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  • Une Française partie en Irak pour rejoindre le groupe Etat islamique et retenue par l'armée demande l'aide de la France

    Une Française originaire de Seine-et-Marne, partie en Irak en 2015 avec son compagnon pour rejoindre l'État islamique, a été arrêtée samedi. Elle est retenue avec ses quatre enfants et demande l'intervention de l'État français.

     

    Une ressortissante française de 27 ans et ses quatre enfants, âgés de cinq mois à six ans, ont été arrêtés samedi 8 juillet à Mossoul. Ils sont depuis retenus par l'armée irakienne, selon maître William Bourdon, l'avocat de la Française. Cette mère de famille vivait depuis trois semaines dans un immeuble de Mossoul et ne pouvait pas fuir en raison de la bataille pour la libération de la ville entre l'armée et le groupe État islamique. "Elle a été interceptée par l'armée irakienne alors qu'elle avait trouvé un abri avec ses quatre enfants mineurs dans la vieille ville de Mossoul. Elle était vraiment au cœur de l'enfer le plus absolu", précise son avocat. Le père de famille serait décédé, même si cette information reste "à confirmer", d'après Me Bourdon.

    "Cette famille a vécu un enfer", selon son avocat

    Le couple, originaire de Seine-et-Marne, était parti rejoindre les rangs du groupe État islamique en 2015 mais la jeune femme a affirmé, il y a un an, ne plus vouloir soutenir les terroristes et vouloir rentrer en France. "Elle aurait été menacée par Daesh, elle aurait fait l'objet d'un ou deux mariages forcés, voilà ce que l'on sait", affirme William Bourdon. L'avocat de la ressortissante française estime qu'il y a une double exigence, morale et juridique : "Que ce dossier ne soit pas traité uniquement avec un regard judiciaire, ou en gestion de crise, mais avec le très haut niveau d'humanité qu'exigent à la fois la présence de quatre enfants mineurs et le fait que cette jeune famille a vécu un enfer lors du siège de Mossoul."

     

    Lorsque des enfants mineurs, surtout en bas âge, sont en danger, il y a une obligation morale et juridique de tout faire pour s'assurer de leur sécurité et pour que leur retour intervienne, de façon apaisée, vers la France

    Maître William Bourdon, avocat de la ressortissante française à franceinfo

     

    Interrogée sur la situation des Français arrêtés en Irak, jeudi, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères affirme que les autorités françaises ne contestent pas aux autorités irakiennes "la possibilité de poursuivre en justice les ressortissants français impliqués dans des organisations terroristes présentes en Irak". D'après Me Bourdon, cette déclarationest une affirmation d'usage qui marque la volonté de la France de ne pas s'ingérer dans les affaires intérieures de l'Irak. "On peut le comprendre, ça n'est pas forcément un signe du fait qu'elle [la ressortissante française] risque elle-même de faire l'objet d'une procédure en Irak. On en saura plus sans doute dans les prochaines heures et les prochains jours", a réagi Me Bourdon. En Irak, les complices du groupe État islamique risquent la peine de mort.

    Franceinfo

    Personne ne l'a obligé à partir en Irak !


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  • Béziers : un jeune pompier poignardé après la cérémonie du 14 juillet

    Un jeune pompier volontaire de la caserne de Saint-Pons-de-Thomière, âgé de 23 ans, a été blessé d'un coup de couteau, à la fin de la fête du 14 Juillet, dans la nuit de vendredi à samedi, selon une information du Midi Libre. L'auteur présumé, un mineur, s'est enfui après ce coup de couteau qui n'a touché aucun organe vital.

    La victime devrait sortir ce dimanche du centre hospitalier de Béziers où il a été transporté après l'incident. Suite à l'enquête lancée par les gendarmes de la compagnie de Béziers, ces derniers ont retrouvé le mineur, auteur présumé de l'attaque. Il a été placé en garde à vue.

    Le Parisien


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  • Offensive de la coalition contre Daesh : des pertes civiles de plus en plus lourdes

    Jusqu'à 744 civils ont été tués au mois de juin en Syrie et en Irak, au cours de l'offensive de la coalition internationale menée par les Etats-Unis contre le groupe Etat islamique (EI), selon un bilan de l'organisation non-gouvernementale Airwars.

    Airwars, un collectif de journalistes basé à Londres qui compile les données publiques – réseaux sociaux, témoins directs et d'autres sources – affirme que les opérations militaires contre la ville de Raqqa, en Syrie, et Mossoul, en Irak, ont été «dévastatrices». 

    Le chiffre donné par Airwars est bien plus élevé que celui avancé par la coalition, qui reconnaissait au début du mois de juillet la mort de 603 civils «tués de manière involontaire par des frappes de la coalition» depuis le début de ses opérations militaires fin 2014.

    Le directeur d'Airwars, Chris Woods, assure que l'intensification des frappes à Mossoul et Raqqa est responsable pour partie de cette augmentation, mais affirme également que l'objectif affiché du Pentagone «d'anéantir» les djihadistes fait courir un risque plus élevé aux habitants civils. 

    «Même s'il était prévisible que des pertes civiles importantes se produiraient lors des assauts contre Raqqa et Mossoul, cela ne peut pas être la seule explication pour le très grand nombre de victimes dont nous, ainsi que d'autres observateurs, ONG et agences internationales avons connaissance», explique Chris Woods. Selon les estimations d'Airwars, entre 529 à 744 non-combattants ont été tués au moins de juin, soit moitié plus que le mois précédent. 

    Amnesty International a demandé le 11 juillet l'établissement d'une commission d'enquête sur les crimes commis par toutes les parties au conflit contre les civils dans la bataille de Mossoul.

    L'organisation de défense des droits de l'homme affirme que les forces irakiennes et de la coalition internationale ont échoué à prendre les mesures nécessaires pour protéger les civils. 

    Des allégations rejetées par le général américain Stephen Townsend, qui dirige la coalition militaire anti-djihadiste. «C'est, je crois, la campagne la plus précise dans l'histoire de la guerre. Je mets au défi les gens d'Amnesty International, ou qui que ce soit lançant ces accusations, de vérifier les faits et de s'assurer qu'ils savent de quoi ils parlent», a-t-il déclaré.

    Le commandement central de l'armée américaine passe actuellement en revue une série de données fournies par Airwars sur les pertes civiles provoquées par la coalition et a jusqu'à présent jugé que la plupart n'étaient «pas crédibles».

    RT International

    Cela n'empêche pas les USA et la France d'accuser sans arrêt Bachar d'être responsable des morts civils ! Une bande de faux culs !


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  • Algérie : contre les pressions en ligne, des militantes féministes appellent à se baigner en maillot

    Dénonçant une atteinte à leur liberté, près de 3 000 femmes de la ville algérienne d'Annaba ont décidé de répliquer à des campagnes anti-maillot de bain sur les réseaux sociaux. Elles se baigneront en bikini malgré la pression.

    Un groupe de jeunes féministes, dont le nombre dépasserait 2 800 sur les réseaux sociaux, selon le journal local algérien Le Provincial, a décidé de réunir le plus de femmes possible pour se baigner en maillot de bain sur les plages de la ville d'Annaba (anciennement Bône à l'époque de la colonisation française), et notamment en bikini.

    Le but de cette opération : répondre à la croisade anti-bikini qu'avait menée durant le mois du ramadan, sur les réseaux sociaux, des jeunes soucieux de dissuader les femmes algériennes de porter des tenues de plage jugées contraires aux normes islamiques, ou trop proches de l'Occident (en clair, tous les vêtements de plage hormis le burkini, qui couvre les bras et les jambes). Des pages, sur les réseaux sociaux, appelaient ainsi à prendre en photo « les femmes qui auraient le malheur de se baigner en maillot de bain», rapporte Le Provincial.

    Les jeunes Bônoises ont désormais une nouvelle occupation», rapporte le journal : tenir tête à «des jeunes qui s'improvisent policiers des mœurs».

     

    De l'autre côté de la Méditerranée, en France, la polémique sur le port du maillot de bain islamique, le burkini, a occupé les médias pendant une bonne partie de l'été 2016, obligeant le Conseil d'Etat à se prononcer sur des interdictions municipales. La controverse a même été sur le point de reprendre cet été 2017, lorsqu'une mairie a décidé d'interdire le port de cette tenue de bain islamique dans un bassin communal, avant de se rétracter.

    RT  International


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