• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 30 11 2016


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  • Je me souviens que ma chère Maman la chantait souvent, encore à la maison de retraite ... Nostalgie.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Un peu d'humour à confesse

    L'aumônier d'un pensionnat de jeunes filles reçoit en confession une nouvelle pensionnaire.
    - Dites-moi, mon enfant, êtes-vous parfois troublée par des pensées impures ?
    - Oh non, mon père !
    - Vous arrive-t-il, le soir, de promener vos mains sur votre corps ?
    - Oh non, mon père ?
    - Manquez-vous, parfois, la messe du dimanche ?
    - Non, mon père, jamais !
    - Alors, ma fille, vous vivez en sainte.
     
    - Oui, mon père, de quatre mois !


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  • Robert Ménard détourne les affiches anti-VIH pour louer la fidélité et déclenche un tollé

    Sur les affiches visibles à Béziers, le couple homosexuel est remplacé par un couple hétérosexuel et le slogan évoquant l'adultère par une formule vantant la fidélité. De quoi faire réagir les réseaux sociaux... jusqu'en Australie.

     

    LIEN : https://francais.rt.com/france/29796-detournement-campagne-anti-vih-par-menard


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  • À Nîmes, les gendarmes retrouvent 300.000 euros enterrés dans un jardin

    Les gendarmes de la section de recherches de Nîmes ne s'attendaient sûrement pas à tomber sur une telle somme. Dans le cadre d'une vaste opération déclenchée lundi pour démanteler un réseau de trafiquants de drogues, ils ont retrouvé près de 300.000 euros en liquide, cachés dans des pots enterrés, dans le jardin de l'un des suspects, grâce à une sorte de scanner. À ce stade de l'enquête, le montant exact n'a pas encore confirmé, ajoute Le Midi Libre, qui révèle l'information.

    Quinze personnes interpellées

    Selon les informations du Midi Libre, outre l'argent liquide "déterré", les gendarmes de la section de recherches auraient également saisi des véhicules de grosses cylindrées. Au total, près de quinze personnes ont été interpellées dans cette enquête, à Nîmes, mais aussi à Beaucaire, Tarascon et Redessan.

    Europe 1


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  • Le groupe Etat islamique revendique l'attaque qui a fait onze blessés dans un campus de l'Ohio

    Le groupe Etat islamique a revendiqué, mardi 29 novembre, l'attaque dans un campus de l'Ohio (Etats-Unis) la veille, selon l'agence de propagande du groupe jihadiste citée par SITE, le centre américain de surveillance des sites jihadistes. Onze personnes ont été blessées dans cette attaque à la voiture et au couteau à l'Ohio State University, à Columbus. L'unique suspect, un étudiant de nationalité somalienne, a été abattu par la police.

    L'assaillant a "mené son opération en réponse aux appels à cibler les citoyens de pays de la coalition internationale" qui combat les jihadistes en Irak et en Syrie, a indiqué une "source" anonyme à l'agence Amaq.

    L'étudiant avait, selon plusieurs médias américains, proféré des menaces contre les Etats-Unis sur Facebook peu avant de passer à l'acte.

    Franceinfo

     


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  • Le renseignement allemand démasque un terroriste présumé dans ses rangs

    L'homme de 51 ans, entré à la direction du renseignement allemand en avril dernier, aurait proposé, sur internet, de fournir des documents et de recruter d'autres sympathisants. Selon les médias allemands, il aurait projeté de faire exploser une bombe.

    Le terroriste présumé a été démasqué dans le plus improbable des endroits: au siège du renseignement intérieur allemand. «Nous avons découvert un islamiste parmi les employés», a confirmé la direction du Bundesamt für Verfassungschutz (BfV) aux médias allemands qui ont révélé l'information, notamment Der Spiegel et Die Welt. L'individu, âgé de 51 ans, a été interpellé. Il aurait partiellement reconnu les faits.

    Selon les informations des médias allemands, le suspect aurait infiltré le siège du renseignement à Cologne et il aurait projeté d'y faire exploser une bombe. Mais, pour l'instant, le parcours de cet ancien employé de banque, père de famille, d'origine espagnole mais de nationalité allemande, entré normalement au BfV en avril dernier grâce à une filière d'accession parallèle, demeure encore mystérieux.

    A en croire les médias allemands, il aurait prêté allégeance dès 2014 au contact d'un prêcheur berlinois, Mohamed Mahmoud, parti ensuite mené le djihad en Syrie. Le suspect aurait mené une double vie qu'il aurait dissimulée à sa famille. Au BfV, aucun indice de radicalisation n'avait été détecté. Ironie de l'histoire, il était affecté à l'équipe de surveillance des réseaux salafistes.

    Coup dur

    L'homme a été démasqué via internet il y a environ un mois par un autre agent du renseignement intérieur, chargé, sur les réseaux sociaux, d'identifier des individus dangereux. Le suspect, qui se présentait sous un faux nom, avait rapidement tenu des propos radicaux. Il s'était ensuite présenté comme un employé du BfV prêt à recruter d'autres sympathisants dans l'administration. Il avait proposé des documents sensibles pouvant mettre en danger l'Office. Selon Der Spiegel, il se serait aussi dit prêt, lors de son audition, à passer à l'acte «dans l'intérêt d'Allah», «contre les infidèles». Mais le service de renseignement n'a pas voulu confirmé la menace concrète d'attentat contre le siège de Cologne.

    C'est un coup dur pour la crédibilité de l'Office. Le BfV est notamment chargé de la surveillance des réseaux islamistes et de l'évaluation de la menace sur le territoire. Les salafistes sont estimés à quelque 9000 sur le territoire et les personnes potentiellement dangereuses à environ 500. Face à un danger jugé élevé, l'Allemagne a choisi de renforcer son arsenal et de durcir sa politique. Début novembre, le ministère de l'Intérieur avait annoncé l'interdiction des manifestations de propagande organisées par les salafistes à des fin de recrutement. Mais celles-ci ne se sont pas arrêtées pour autant.

    Le Figaro Correspondant à Berlin

    Le renseignement allemand démasque un terroriste présumé dans ses rangs


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  • Mafé avec mon regretté Pacha

    Je vous souhaite une bonne soirée et une douce nuit


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  • Perturbateurs endocriniens : ces lobbys industriels qui œuvrent dans l'ombre

    Puisqu'on connaît les effets néfastes des perturbateurs endocriniens sur notre santé, pourquoi est-il si compliqué de légiférer pour les limiter ? La communauté scientifique hausse le ton.

    Cancers, diabètes, baisse de la fertilité... La liste des maladies causées par les perturbateurs endocriniens s'allonge. Omniprésentes dans nos aliments, nos shampoings, nos vêtements, ces milliers de substances toxiques chamboulent nos systèmes hormonaux. Mais puisqu'on les sait néfastes, pourquoi est-il si compliqué de légiférer pour les limiter ?

    Tout simplement parce que les industriels s'y opposent activement, affirment ce mardi une centaine de scientifiques dans une tribune publiée dans "Le Monde". 

    "Le projet d’établir une réglementation dans l’Union européenne est activement combattu par des scientifiques fortement liés à des intérêts industriels", dénoncent-ils. Pourtant, "il n'y a pas de controverse scientifique" à ce sujet : les effets nocifs des perturbateurs endocriniens ont amplement été mis en évidence.

    Des lobbys influents

    Depuis 2009, "un règlement pesticides" adopté par le Parlement européen empêche théoriquement la commercialisation des pesticides dont on sait qu'ils dépassent certaines "limites maximales de résidus". Mais dans les faits, ces pesticides sont toujours sur le marché. Pourquoi ? Parce qu'il est compliqué de prouver a priori qu'un pesticide contient des perturbateurs endocriniens. Et c'est là l'argument principal des industriels...

    L'industrie des pesticides est l'une des plus concernées par les perturbateurs endocriniens, souligne "Le Monde" dans son enquête "Perturbateurs endocriniens, la fabrique d'un mensonge". C'est pourquoi ses principales organisations de lobbying s'organisent contre leur encadrement. Comment ? En commanditant par exemple une étude à l'autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), qui indique en conclusion que "les perturbateurs endocriniens peuvent [...] être traités comme la plupart des substances [chimiques] préoccupantes pour la santé humaine et l’environnement". Or... c'est actuellement sur cette petite phrase controversée que s'appuie la Commission européenne pour justifier le fait que son actuelle législation ne soit pas plus sévère. 

    "Les discussions sur les perturbateurs endocriniens souffrent de cette déformation des preuves scientifiques par des acteurs financés par l’industrie", dénonce la communauté scientifique dans "Le Monde"

    Cette étude de l'EFSA sur laquelle s'appuie actuellement la Commission européenne est un argument en or pour les industriels qui l'ont commanditée, et dont le quotidien du soir détaille la liste : le secteur de la chimie avec le Conseil européen de l’industrie chimique (Cefic) et American Chemistry Council, et celui des pesticides avec CropLife America, CropLife Canada, CropLife International et l’Association européenne pour la protection des cultures.

    "Ne pas refaire la même erreur" qu'avec le tabac

    En définissant les perturbateurs endocriniens comme "des produits chimiques comme les autres", la Commission européenne ne favorise pas leur interdiction, mais opte plutôt, comme elle l'a précisé en juin dernier, pour une étude au cas par cas établissant a posteriori le lien entre le produit incriminé et les effets observés. 

    Au mois d'octobre, la France, par la voix de Marisol Touraine, a estimé que la définition des perturbateurs endocriniens proposée en juin par la Commission européenne n'était "pas satisfaisante", car "trop restrictive".

    Perturbateurs endocriniens : ce qu'on ignore encore

    "J'ai reçu à Paris le commissaire européen à la Santé [le Lituanien Vytenis Andriukaitis, NDLR] et je lui ai indiqué que nous souhaitions que la définition adoptée à Bruxelles aille plus loin que ce qui était actuellement envisagé", avait affirmé la ministre de la Santé après le scandale des mueslis bourrés de pesticides.

    Dans leur tribune ce mardi, les scientifiques accusent la Commission européenne de bafouer le principe de précaution en exigeant un niveau de preuve trop difficile à atteindre. Ils l'exhortent donc à agir en urgence : La manipulation de la science concernant les effets de la fumée du tabac a coûté des millions de vies. Nous ne devons pas refaire la même erreur."

    L'OBS

    On peut constater une fois de plus que l'Europe est néfaste !


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  • Reims: l'enfant de 3 ans mort sous les coups servait de "souffre-douleur" au conjoint de sa mère

    Avant de succomber à une énième salve de coups, Tony, l'enfant de trois ans mort le 26 novembre à Reims, avait servi de "souffre-douleur" au conjoint de sa mère, un homme déjà condamné sept fois pour violences, a révélé parquet de Reims ce lundi.

    Le parquet "a décidé d'ouvrir une enquête des chefs d'homicide volontaire aggravé sur mineur de moins de 15 ans, violences habituelles sur mineurs de moins de 15 ans par ascendant légitime ou personne ayant autorité, non-dénonciation de mauvais traitements et non-assistance à personne en péril", a déclaré Matthieu Bourrette, le procureur de Reims, lors d'une conférence de presse. La mère du petit ainsi que son conjoint, mis en garde à vue la veille, ont été placés en détention provisoire.

    Plus d'un mois de violences régulières

    Samedi 26 novembre en milieu d'après-midi, la mère de famille, âgée de 19 ans, a alerté les pompiers en indiquant que son fils de trois ans, prénommé Tony, "avait perdu connaissance", a retracé le magistrat. Sur place, les pompiers ont constaté que l'enfant était dans "un état particulièrement grave" et présentait "de très nombreux bleus". Transporté aux urgences pédiatriques, il est mort à son arrivée. "Si les services de police avaient été alertés par le voisinage, cet enfant aurait pu passer Noël 2016", a déploré le procureur.

    Selon les résultats de l'autopsie réalisée dimanche, les causes de la mort sont dues à "une rupture de la rate et du pancréas" liée à des coups à l'abdomen. De "très nombreux hématomes" ont aussi été relevés sur l'ensemble du corps de la victime, accréditant la thèse de violences régulières "pendant un mois à un mois et demi". 

    La mère "effondrée"

    La mère de l'enfant est apparue "effondrée" pendant sa garde à vue. Elle a d'abord tenté de minimiser les faits avant de reconnaître que son compagnon, avec lequel elle entretenait une relation depuis trois mois, frappait son fils qui servait de "souffre-douleur", a précisé le procureur. Interpellé avec sa compagne par les forces de l'ordre, le mis en cause, âgé de 24 ans, a été condamné sept fois entre 2009 et 2015 pour menaces, dégradation, violences et outrage. Le conjoint violent et la mère encourent respectivement la réclusion à perpétuité et cinq ans de prison.

    BFM.TV

    Comment cette femme a pu rester avec un mec qui frappait son enfant ?

    Ce type est à enfermer à vie et la mère mérite une bonne peine de prison.


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  • Jacques Chirac, 84 ans aujourd'hui, s'est réjoui de la défaite de Nicolas Sarkozy

    L'ancien chef de l'Etat, qui fête ses 84 ans le 29 novembre, va mieux, et a même gardé un œil sur le dénouement de la primaire de la droite et du centre.

    Les Français s’étaient inquiétés pour lui. A la rentrée, Jacques Chirac avait été hospitalisé pour soigner une pneumonie. L’état de santé de l’ancien président de la République, qui fête ses 84 ans aujourd’hui, s’est amélioré. On sait même qu’il a réagi en privé aux résultats de la primaire de la droite et du centre.

    Une vielle animosité

    En vérité, Jacques Chirac a surtout réagi à un résultat : la chute de Nicolas Sarkozy dès le premier tour. Une élimination qui ne l’a pas peiné. Il a même, nous dit-on, manifesté sa satisfaction. Sa rancœur à l’égard de celui qui lui a succédé à l’Elysée n’a manifestement pas disparu.

    Une visite de François Hollande

    Cela fait maintenant un mois et demi que l’ancien président de la République est sorti de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Evidemment, Jacques Chirac est encore faible : il s’exprime peu et son état de santé ne lui permet pas pour le moment de quitter l’appartement mis à sa disposition près du Sénat par son ami, l’homme d’affaires François Pinault.

    Mais il peut désormais passer une partie de sa journée dans son fauteuil. C’est dans ces conditions qu’il peut accueillir ses rares visiteurs : sa fille Claude et François Pinault, évidemment, mais aussi, il y a peu, le président de la République, François Hollande.

    Europe 1

    Bon anniversaire Chichi !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Accident mortel au passage du convoi de Hollande :

    © DR/FAMILLE BRICHÉ Lagord (Charente-Maritime), le 8 novembre. Les pompiers ont dû désincarcérer le conducteur de sa voiture.

    L’enquête progresse après la mort d’un automobiliste, victime d’un accident début novembre L’Express, l’enquête ouverte initialement pour « recherche des causes de la mort » a été requalifiée en « homicide involontaire ».

    Le 8 novembre dernier, Marcel Briché, 83 ans, entre sur la rocade de La Rochelle à hauteur de Lagord. Selon le récit de ses proches, il est surpris par un motard de la police, qui lui ordonne de se déporter pour laisser passer le convoi. Le retraité obtempère mais vient percuter le véhicule qui le précède. Conscient à son arrivée à l’hôpital, Marcel Briché, victime d’une fracture de la nuque, décède finalement deux jours plus tard d’un arrêt cardiaque à la suite d’une cyanose.

    «Le cadre juridique n’est pas très favorable»

    Malgré cette requalification, l’avocat des proches de la victime, Me Charles-Etienne Gudin, reste prudent. « Cela ne préjuge en rien du résultat de l’enquête. (…) Le cadre juridique n’est pas très favorable, nous a-t-il précisé. En France, il est impossible de poursuivre pénalement l’Etat. (…) Mais l’affaire est prise très au sérieux et nous travaillons pour établir précisément les faits. »

    Les enfants de Marcel Briché vont se constituer partie civile. L’Express annonce également qu’une nouvelle expertise médicale doit être menée pour déterminer si la victime possédait des antécédents médicaux.

    Le Parisien

    CHANTOUVIVELAVIE : Accident mortel au passage du convoi de Hollande

    Lire cet autre article :

    http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/convoi-de-fran%c3%a7ois-hollande-lenqu%c3%aate-requalifi%c3%a9e-en-homicide-involontaire/ar-AAkRfZ7#image=1


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MARDI 29 11 2016

     

    CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MARDI 29 11 2016


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 28 11 2016


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  • Australie: Trois ouistitis volés dans un zoo près de Sydney

    Ces singes originaires du bassin amazonien mesurent une douzaine de centimètres. - MICK MARIC / SYMBIO WILDLIFE PARK

    Alerte au parc zoologique Symbio au sud de Sydney. Trois ouistitis pygmées, dont un bébé de quelques semaines, ont été enlevés ce samedi. Deux hommes soupçonnés du vol ont été arrêtés et deux des minuscules singes ont heureusement pu être récupérés.

    La police comme la direction du zoo avaient lancé un appel pressant au public pour retrouver les petits primates, un bébé de quatre semaines, son père Gomez, et une femelle de 10 mois, Sophia. Le zoo craignait en particulier la mort du bébé s’il ne retrouvait pas sa mère dans les 24 heures tandis que la survie de sa jumelle était également menacée, la mère étant trop stressée pour continuer à l’allaiter.

    Un ouistiti pygmée peut se vendre jusqu’à 3.500 euros

    Deux hommes de 23 et 26 ans ont été arrêtés par la police. Ils comparaîtront lundi devant un tribunal pour recel de vol. Les policiers ont retrouvé le bébé dans une voiture, la femelle à un autre endroit mais le père demeure introuvable.

    >> A lire aussi : Des trafiquants de ouistitis interpellés à Limoges

    Le bébé affamé a retrouvé sa mère et sa sœur, a déclaré le zoo sur sa page Facebook, expliquant que Sophia était toujours en observation. « La mère a immédiatement pris le petit dans ses bras et celui-ci a commencé à se nourrir ».

    Le mobile du vol pourrait être financier. D’après le Daily Telegraph de Sydney, un ouistiti pygmée peut se vendre jusqu’à 5.000 dollars australiens (3.500 euros) sur le marché noir.

    20 Minutes.fr

    J'espère qu'ils vont retrouver le père !

    Bande d'enfoirés, j'espère qu'ils vont faire de la prison


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  • Eure: Une mère et sa fille tuées par arme à feu à Evreux, l’auteur présumé en garde à vue

    Une femme d’une quarantaine d’années et sa mère de 66 ans ont été tuées par arme à feu dimanche matin à Evreux (Eure). Le père de la quadragénaire « a également été atteint de plusieurs projectiles. Gravement blessé, il a été transporté au CHU d’Evreux », précise le parquet de la ville.

    Le mari de la quadragénaire en garde à vue

    L’auteur présumé des tirs, le mari de la quadragénaire, âgé de 46 ans, a été placé en garde à vue « pour assassinat de tentative d’assassinat », ajoute le parquet, indiquant qu’il « s’agirait d’un différend d’origine familiale ».

    La quadragénaire et son mari, qui ont deux enfants majeurs, résidaient en Belgique. L’épouse était revenue récemment vivre chez ses parents à Evreux. Une enquête de flagrance a été confiée à la direction départementale de la sécurité publique de l’Eure.

    20 Minutes.fr

    Rien que du banal !


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  • Pas-de-Calais: Un cas de grippe aviaire chez un canard de chasse

    Surveillance des canards au lac de Grand lieu (44) - MAISONNEUVE/SIPA

    La grippe aviaire, le retour. Un cas de virus hautement pathogène H5N8 a été officiellement détecté, puis confirmé samedi dans le Pas-de-Calais, parmi 20 canards retrouvés morts, a annoncé lundi le ministère de l’Agriculture.

    Les canards en question étaient « utilisés comme appelants pour la chasse au gibier d’eau », dans la commune de Marck, précise le ministère. Les canards appelants sont des animaux vivants, souvent capturés à l’état sauvage, maintenus sur une zone de chasse pour attirer des animaux de même espèce.

    Pas d’influence sur les exportations avant Noël ?

    Le ministère assure que ce cas ne modifiera pas le statut international de la France vis-à-vis de la grippe aviaire, qui ne concerne que les « volailles ». Or, précise le ministère, « ces appelants ne faisaient pas partie d’un élevage d’oiseaux domestiques à vocation commerciale ».

    Pour la France, la précision est d’importance, car le pays espère retrouver, le 3 décembre, son statut « indemne » vis-à-vis de l’influenza aviaire, ce qui lui permettra de reprendre les exportations, notamment de foie gras, juste à temps pour Noël. Ce statut avait été perdu fin 2015, lors d’une autre épizootie qui s’était déclarée dans le Sud-Ouest.

    >> A lire aussi : Délivrée de la grippe aviaire, la filière foie gras est-elle prête pour les fêtes?

    Le dernier cas ayant été déclaré le 2 décembre, il faut ensuite douze mois de surveillance sans aucun cas, pour recouvrer officiellement un statut « indemne » auprès de l’organisation mondiale de la santé animale (OIE)

    Le virus n’est pas contagieux pour l’Homme

    « Aucun cas humain lié à ce virus n’a été signalé dans le monde à ce jour », rappelle, en outre, le ministère, dans son communiqué. Le virus H5N8, très infectieux pour les canards, n’a en effet jamais été transmis à l’Homme. Les spécialistes restent vigilants sur une possible mutation, d’où les mesures de surveillance mises en place.

    La Direction départementale de la protection des populations a procédé à l’abattage de l’ensemble des canards appelants du site concerné, et également des volatiles d’un autre site se trouvant à 4 km de Boulogne-sur-Mer, qui avaient été en contact.

    Deux secteurs de surveillance renforcée ont été mis en place dans les communes aux alentours : dans ces zones, des visites systématiques de vétérinaires vérifient l’application stricte des mesures de confinement et de biosécurité des élevages.

    >> A lire aussi : Grippe aviaire: Le risque devient «élevé» dans des zones humides françaises

    Le lieu de détention des vingt canards trouvés morts est situé dans une zone dont le niveau de risque avait été réévalué, considéré comme élevé par arrêté ministériel du 16 novembre, après la détection de nombreux cas en Europe, notamment au Royaume-Uni tout proche, tant au sein des populations d’oiseaux sauvages que d’élevages.

    « La période de migration de certaines espèces joue certainement un rôle majeur dans la diffusion de ce virus », selon le ministère.

    20 Minutes.fr

    Ils ont peur pour leur saloperie de foie gras pour les fêtes de fin d'année !

    Bien fait pour ceux qui chassent ces pauvres canards !

     


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  • Seine-Saint-Denis : un cadavre dénudé découvert après une fête

    Selon les premiers éléments de l'enquête, le trentenaire aurait été mis à la porte d'un logement, nu, et serait mort d'hypothermie.

    Le cadavre dénudé d'un homme de 35 ans a été découvert dimanche matin dans la cour d'un immeuble à Gagny, en Seine-Saint-Denis, où avait lieu une fête, a-t-on appris lundi de sources concordantes.

    "Mis à la porte nu". Selon les premiers éléments, il a été "mis à la porte nu" d'un logement, a indiqué une source proche de l'enquête. Une fête avait lieu dans l'immeuble au pied duquel le corps a été retrouvé, à 6h15 dimanche, a précisé une source policière. Son décès pourrait être dû à une hypothermie, ont indiqué ces sources. Une autopsie devait être pratiquée lundi. Le commissariat local a été chargé de l'enquête.

    Europe 1


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